Bulletin de test du scanner de film Reflecta x³-Scan

Avec le x³-Scan, Reflecta met le troisième modèle de la série x-Scan sur le marché. Comme chez ses prédécesseurs, le x³-Scan fonctionne avec un capteur CMOS, qui photographie sur une fois l'image différemment aux autres scanners de film, au lieu de l'analyser ligne par ligne avec un détecteur CCD?.

Les caractéristiques sont à peine différentes des prédécesseurs. Le Reflecta Scan x³-a été developpé avec de nouvelles fonctions, qui font de lui utilisable indépendamment d'un PC. Avec un écran intégré, on peut examiner tout de suite la diapo ou négative mise et de l'assurer sur une mémoire intégrée ou sur une carte SD optionnelle. L'appareil se laisse même bracher au téléviseur, de sorte qu'on peut examiner ses images analogues au grand écran de la télé.

Dans le bulletin de test suivant, nous voulons montrer s'il s'agit dans le cas de Reflecta x³-Scan d'un appareil mltifonctionnel, avec lequel on peut obtenir de bons résultats d'image ou s'il est plutôt un jouet avec lequel on peut aussi regarder les images.

Equipement, accessoires et caractéristiques du scanner de film

Dans le volume de la livraison de Reflecta x³-Scan, on trouve tout ce qu'on on a besoin pour l'entreprise du scanner. On trouve à côté du scanner dans le petit emballage même un support de film pour plus de 3 diapos de petite image encadrées et une bande de film avec plus de 6 images. Le bloc d'alimentation contenu possède une prise USB, de sorte que le scanner peut être branché directement au réseau électrique avec le câble USB livré. L'appareil s'en tire sans un branchement électrique séparé ; si l'appareil est branché au PC, il y sera alimenté en courant. De plus, il y a encore un câble de vidéo pour le branchement au téléviseur ou à un magnétophone de vidéo ou de DVD.

Sur le CD ci-joint, on trouve comme chez le prédécesseur le programme de traitement et contemplation d'image ArcSoft PhotoImpression 6. En dehors de ce logiciel, il n'y a qu'un pilote pour Windows 98 (on se débrouille avec toutes les versions plus récentes de Windows sans des pilotes supplémentaires) et DirectX 9 dont on a besoin pour l'entreprise de PhotoImpression.

Selon la description du fabricant, la vitesse de scan d'une image s'élève à une seconde comme il est déjà le cas chez les modèles précédents. Ainsi, ce scanner est 100 fois plus rapide que la plupart des scanners de film professionnels. Même la résolution de 1800 ppi, qui résulte 5 mégapixels lors d'un scan de petite image, est restée inchangeable. Cependant, la profondeur de données interne s'élève à 30bits au lieu de 24 bits. Cela promet une étendue de dynamique plus élevée comparé avec le x-Scan et x²-Scan. Une correction de poussière et d'éraflure automatique comme ICE ou iSRD n'est pas techniquement possible. On ne peut déjà s'attendre à une qualité d'image trop élevée de cet appareil seulement en raison des données nominales du fabricant.

Au sujet de connectivité, il y a malheureusement une régression comparé aux prédécesseurs: Tandis que non seulement le x-Scan, mais aussi le x²-Scan se laissent brancher à l'ordinateur par USB 2.0, le x³-Scan ne soutient que le vieux USB 1.1. C'est bien que le standard USB soit compatible en arrière, de sorte qu'on peut même brancher l'appareil à un ordinateur avec un port USB 2.0.

Comme il est déjà évoqué chez les x²-Scan, il y a ici même une petite brosse, avec laquelle le capteur se laisse nettoyer avec indulgence de l'intérieur de l'appareil . Elle se compose d'une poignée en plastique avec une matière micro-fibreuse à la pointe, qui est très molle et bon à accueillir les peluches poussiéreuses sans endommager le capteur. Le capteur est mal protégé de la poussière à cause de sa position sous l'ouverture des supports de film, de sorte qu'on a besoin régulièrement pour nettoyer le capteur ce qui fonctionne parfaitement et avec indulgence.

Un mode d'emploi multilingue y est également inclu. Mais nous venons maintenant aux grandes innovations du x³-Scan: Le scanner est conçu de la manière à être utilisé indépendamment de l'ordinateur. Ainsi, il se trouve sur la partie supérieure de l'appareil un LCD pliant, qui a la fonction d'être utilisé comme un couvercle dans l'état fermé et qui recouvre toutes les commandes du scanner. L'écran montre l'image dans un temps réel, que le détecteur CMOS saisit. Le x³-Scan se laisse ainsi utiliser comme une visionneuse de diapo.

Ici se situe aussi le grand désavantage du x³-Scan : Le scanner ne se laisse pas contrôler à partir du PC. Le liaison USB est uniquement songé à transmettre les images de la mémoire interne ou la carte SD vers le PC (dans ce cas l'appareil fait fonction d'un lecteur de carte). Si on pouvait examiner avec les modèles précédents l'image directe du détecteur CMOS avec le logiciel de pilote TWAIN sur l'écran d'ordinateur et en faire des instantanées, ceci n'est plus possible avec le x³-Scan. La liaison à l'ordinateur n'est indispensable que pour le transfert de données des fichiers d'images déjà déposés sur la mémoire interne ou sur la carte SD intercalée.

La mémoire interne du x³-Scan s'élève à 32 Mo. Avec des cartes SD optionnellement disponibles, celle-ci se laisse élargir librement.

A l'envers, on trouve à côté de la liaison USB une prise-cliquet de 2,5 mm par laquelle le scanner se laisse brancher avec le câble cinch livré au téléviseur ou à un autre appareil avec une entrée de vidéo. Par là, les images peuvent être regardées sur un grand téléviseur à la place du petit LCD intégré.

Installation et mise en service

Avec le Reflecta x³-Scan, on peut tout de suite commencer à scanner sans devoir installer quelque chose. On relie tout d'abord le scanner par le câble USB livré avec le bloc d'alimentation et on le branche ensuite au réseau électrique. Si on ouvre maintenant le couvercle, une DEL rouge signale la disposition d'entreprise de l'appareil. L'écran montre tout de suite l'image en direct du détecteur CMOS, qui peut être enregistré par une pression simple sur la touche de départ. Le LCD intégré dans le couvercle sert de commutateur d'énergie : Si elle est fermé le scanner reste hors circuit, si on ouvre le couvercle, l'appareil s'enclenche automatiquement.

Sur le PC, il n'y a pas beaucoup à faire installer pour le x³-Scan, car comme il est déjà mentionné, le scanner est conçu comme une solution autonome. Si on met le CD livré, il apparait une fenêtre d'installation qui permet à l'utilisateur d'installer trois composants différents: Le logiciel PhotoImpression, DirectX 9 et un pilote pour Windows 98. Pour le dernier, on n'aura besoin que de Windows 98, comme aucun pilote n'est encore intégré ici pour les appareils de mémoire de grande capacité. Même le DirectX 9 doit seulement être installé, si le système n'est pas à l'état actuel.

Pour l'installation des trois composants, on doit suivre uniquement les instructions d'écran, qui conduisent l'utilisateur à travers le processus d'installation. Ici, il n'y aura aucune difficulté. Si on attache le x³-Scan au PC et on déplie le LCD, ainsi le système reconnaît tout de suite l'appareil comme un nouveau lecteur. On peut accéder sur cela, comme on est habitué d'une clé USB, d'un disque dur externe ou d'une carte à mémoire.

Le tiroir pour la carte SD se trouve latéralement sur la face supérieure de l'appareil à côté des trois commandes. Si on voudrait enregistrer sur la carte SD à la place de la mémoire interne, ainsi on doit ouvrir et fermer l'écran après avoir mis la carte l'écran, pour que la carte soit reconnue par l'appareil. La mémoire interne est ainsi désactivée et on ne peut qu'accéder à la carte SD.

Scanner des diapos et négatives

Pour scanner une diapo avec le x³-Scan, on doit tout d'abord régler dans le menu, qu'on ne veut pas scanner du négatif mais une diapo. On ouvre le menu avec une pression sur le bouton fonctionnel recouvert doublement comme toutes les touches à l'appareil. Ici, on choisit le symbole de film et on a ensuite le choix entre un film de négatif n/b, un film de couleur négatif et un film de diapo. Si on a choisi le réglage de diapo, on le confirme par une nouvelle pression sur le bouton fonctionnel, et on se trouve automatiquement dans le mode de scan.

Maintenant, les diapos doivent être mises dans le support de film correspondant. Pour cela, on ouvre du côté longitudinal la construction pas assez chère et on met les diapos dans le côté correct, c'est à dire dans la même manière qu'on puisse les regarder, et on renferme ensuite de nouveau le support. Ceci peut être intercalé du côté droit dans le scanner. Cela ne fonctionne pas de l'autre côté, les supports de film ne se laissent intercaler dans le scanner que de la droit vers la gauche. La direction juste est marquée par des flèches sur le support de film et l'appareil.

Sur l'écran, on voit l'image en temps réel que le capteur saisit. Cela signifie que vous voyez même, comment le support de film sera bougé. A côté du type de film réglé à gauche en haut, il sera affiché dans l'écran à droite en bas, combien d'images on a déjà enregistré et combien peuvent-t-elles être ajoutées. La mémoire interne contient 56 images.

Les supports de film sont munis avec des marquages d'index, de sorte qu'ils se trouvent dans les positions justes, c'est à dire quand une image se trouve complètement devant le capteur, elle s'encliquete dans le scanner. Si on arrive à un point de trame lors du positionnement du support de film, il ne laisse plus bouger en arrière. Si on aimait enregistrer l'image visible à l'écran, il suffit pour cela une pression sur le bouton du démarrage. Dans une seconde, l'image est assurée soit dans la mémoire interne, soit sur la carte SD mise.

Scanner des négatifs n'est pas différent de la numérisation des diapos. Avant de scanner, on doit régler uniquement le type de film. Le support de film pour les bandes de film est aussi muni de marquages d'index et il s'encliquete aux positions justes.

Si on préférerait utiliser l'appareil à travers le téléviseur, on branche le x³-Scan avec le câble de vidéo livré au Line-In de l'appareil de télévision. Maintenant, on ne voit plus la même image sur l'écran de visualisation intégré, mais sur le grand écran de la télévision. On doit régler uniquement dans le menu, si le signal d'image doit être distribué avec un standard PAL européen ou avec un standard NTSC américain.

A côté du choix du genre de film et la vidéo standard, d'autres fonctions se laissent appeler dans le menu principal. Il y a aussi une possibilité de réglage de la luminosité d'images. Celle-ci peut être corrigée dans une 1/2 étape de -2 EV jusqu'à +2 EV. La fonction de la rotation et de la réflexion des images est également disponible ainsi que la fonction pour le formatage de la mémoire.

Une très grande restriction dans l'utilisation du x³-Scan, est le fait que le scanner fonctionne exclusivement comme un appareil autonome: Si le scanner n'est pas branché au réseau électrique mais au PC, on ne peut plus travailler avec l'appareil. Toutes les fonctions et même l'écran de visualisation sont désactivés. Attaché à un PC, le x³-Scan se laisse utiliser exclusivement comme média de mémoire ou lecteur de carte. Pour pouvoir scanner ou regarder des images, on doit débrancher l'appareil de l'ordinateur et le brancher au réseau électrique. La caractéristique d'utiliser le scanner indépendamment du PC, n'est pas une option, mais la seule possibilité.

Contempler des images enregistrées

Les images enregistrées avec le Reflecta x³-Scan se laissent ultérieurement contempler, à savoir soit à travers le LCD intégré soit à partir de la télévision.

Pour regarder les images stockées, on change en mode play-back à travers la pression sur le bouton de lecture. Tout de suite, l'image assurée apparaît sur l'écran de visualisation et on peut se feuilleter à travers toutes les images stockées. Après la commutation d'une image à l'autre, les informations d'image seront indiquées pour environ deux secondes: Numéro d'image, grandeur d'image et la valeur de correction de l'exposition réglée.

Le mode Play-back dispose d'un propre menu. A partir de cela, les fonctions suivantes se laissent appeler: On peut passer de la contemplation d'image individuelle (qui démarre automatiquement si on change en mode Play-back) vers le diaporama, qui affiche toutes les images stockées pour environ cinq secondes. On peut supprimer une ou plusieurs images et chaque image se laisse tourner vers la gauche ou la droite partagée sur des étapes de 90°.

Les logiciels livrés

Comme il est déjà décrit en haut, l'équipement de logiciel de Reflecta x³-Scan se limite sur ArcSoft PhotoImpression 6. Il s'agit ici d'un petit outil mais fin pour l'administration, pour la contemplation et pour le traitement de photos digitales. Les diaporamas se laissent édifier avec ou sans fond sonore, retourner les images, les trier, les imprimer, les envoyer comme e-mail, les renommer et convertir dans le mode de traitement par lots, encadrer les images et ajouter des cliparts et effectuer des traitement d'image.

Les fonctions de traitement d'image prévues pour cela sont réparties dans de différents groupes. Sous "adapter" on trouve des outils comme par exemple pour régler la clarté, contrast et acuité, correction de couleurs, la correction automatique ou manuelle des yeux rouges et la coupe et le pivotement des images.

Le groupe des outils de "retouche" comprend des outils comme le pinceau de réparation, tampon de clone, éclairer/obscurcir, estomper, acérer et dessiner mou, qui sont tous réglables dans la grandeur et intensité de pinceaux. De plus, il y a ici un pinceau de peinture, une fonction pour dessiner des lignes ainsi qu'une gomme. Sous le groupe de "presse-papiers", vous trouvez des outils de choix, avec lesquels vous marquez des parties de l'image, les copier dans le presse-papiers, et à partir de cela, de les ajouter dans une image quelconque.

ArcSoft PhotoImpression 6 est facile à utiliser et il est amusant de donner du pep à ses photos avec ce logiciel.

Qualité d'image

Le critère le plus important chez un scanner est en fait la qualité d'images obtenable. Chez un appareil comme le x³-Scan, ce critère se relégue toutefois un peu. Il n'est pas finalement -et ceci est valable dans son édition actuel comme un appareil autonome plus que sur ses prédécesseurs- conçu pour l'archivage très qualitatif des originaux précieux. Néanmoins, la qualité d'image doit être assez haute chez un tel appareil pour pouvoir raisonnablement contempler les photos à l'écran. Surtout parce que l'appareil se laisse aussi brancher à de très grands téléviseurs avec une sortie TV.

Nous commençons par la résolution. Lors de l'utilisation d'un testchart USAF, les éléments horizontaux et verticaux de l'élément 4.4 se laissent juste distinguer. Cela produit une résolution d'environ 1150 ppi. La résolution est encore un peu plus petite comparé au prédécesseur: Le x²-Scan réussi environ 1300 ppi et le plus ancien x-Scan même 1500 ppi. Le fait que les modèles les plus neufs de la série obtiennent toujours une plus petite résolution que le modèle précédent est aussi très exceptionnel et dans mes yeux incompréhensible. Avec 1150 ppi, le x³-Scan n'atteint qu'environ 64% de la résolution nominale. Si on scanne une diapo de petite image ou un négatif de petite image avec 1150 dpi, il résulte des fichiers d'images d'environ 1,8 mégapixels. Les images avec si peu de mégapixels ne produisent aujourd'hui que quelques caméras de téléphone portable et les caméras numériques très anciennes. Quand on considére qu'environ 20 millions de Pixels sont contenus dans une bonne diapo ou un négatif, on n'obtient même pas 10% des informations d'image figurant dans l'original. Il devient ainsi évident qu'avec le Reflecta x³-Scan, on n'archive pas de films mais on les numérise pour une contemplation rapide.

A cela s'ajoute le fait que l'appareil soumet les images à un aiguisement fort, de sorte que les images font preuve d'être très grossières et pas naturelles sur les bords. Avec un aiguisement excessif, il a été essayé de masquer la petite résolution ce qui ne peut pas fonctionner. Sur le petit LCD intégré, ce truc peut fonctionner mais déjà sur un plus petit téléviseur, l'image a l'air d'avoir des arêtes vives.

Une bonne nouvelle au sujet de la qualité d'images est à annoncer: L'étendue de densité a vraiment augmenté dans la pratique grâce à l'augmentation de la profondeur de données interne. On peut reconnaître plus de détails dans les lumières et l'ombre vis à vis des modèles prédécesseurs. Malheureusement, cela n'en apporte rien à la mauvaise qualité d'image.

Vitesse de scan

Le scan de diapos ou d'un négatif ne dure qu'environ une seconde comme il a été promis par le fabricant. Car les données ne sont pas transmises immédiatement à l'ordinateur, il ne résulte aucun temps de transfert supplémentaire.

Tout d'abord, lorsque les diapos souhaitées ou les négatifs sont scannés, les données peuvent être chargées sur le disque dur de l'ordinateur. Si on a posé les images dans la mémoire interne du x³-Scan, ril nous reste rien d'autre que de brancher directement l'appareil à l'ordinateur. La vitesse de transmission est basse en raison de l'USB 1.1 standard. Si on a mis une carte SD enregistrée dans le scanner, on peut mettre la carte dans un lecteur de carte branché ou intégré dans l'ordinateur et y transmettre les données. Ensuite, on a l'acompte de transfert de données rapide de l'USB 2.0.

Comme les images ne seront enregistrées qu'exclusivement en forme de fichiers JPG avec une grandeur respective de 750 kb, la vitesse de transfert de données a seulement d'importance, si on a scanné beaucoup d'images. Si on n'a scanné p.ex. que 10 diapos, celles-ci sont vite transmises à l'ordinateur malgré l'USB 1.1.

Résumé, bilan

Comme il était à attendre, le Reflecta x³-Scan ne convient pas à l'archivage sophistiqué de ses diapos et de ses négatifs précieux. Les deux modèles précédents étaient conçus pour apporter simplement et rapidement des diapos et des négatifs à l'ordinateur avec une qualité d'image modeste pour envoyer une image par e-mail à des amis ou à édifier un album sur web. Le x³-Scan n'est pas même approprié adéquatement, car les données ne se laissent apporter sur le disque dur de l'ordinateur qu'avec un transfert de données supplémentaire.

Une utilisation adéquate pour lequel le x³-Scan paraît être approprié, est le rattachement à un téléviseur, de sorte qu'on peut contempler grandement ses diapos sur l'appareil TV. On peut ainsi regarder des anciennes diapos avec des amis ou avec la famille sans devoir aller chercher le projecteur et la toile de fond de la cave et les devoir construirent. Malheureusement, la qualité d'images n'est pas suffisante pour cela. Les photos apparaissent de bonne qualité seulement sur l'écran de visualisation interne- mais sur un LCD avec seulement 6 cm de diagonale d'image, cela ne fait pas vraiment de plaisir.

Une autre possibilité d'utilisation de l'appareil pour laquelle le fabricant a fait explicitement de la publicité, est l'enregistrement des images sur la carte SD pour la transmission directe des images dans un cadre d'image digital. On peut voir sa vieille collection de diapo ou de négatif et d'enregistrer par pression de bouton sur de la carte SD les images qu'on voudrait laisser indiquer dans un cadre. Si on a terminé, on prend simplement la carte de l'appareil et on la met dans le cadre d'image digital - terminé.

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