Bulletin de test du scanner de film Reflecta x²-Scan

A l'occasion de photokina 2008, Reflecta apportait sur le marché le x²-Scan comme successeur de Reflecta XScan. Comme son prédécesseur, le x²-Scan fonctionne différemment que les autres scanners de film, avec une puce CMOS comme détecteur à formation d'images. Normalement, il intervient ici un détecteur CCD. Ceci signifie qu'une diapo de 35mm ou négative ne sera pas explorée ligne par ligne par le détecteur de ligne CCD mais elle sera enregistrée complètement sur un coup. Dans le cas de x²-Scan, il s'agit d'une sorte de caméra stationnaire digitale qui examine à la lumière le film mis et le photographie.

Dans notre bulletin de test suivant, nous voulons montrer si la qualité de scan s'est améliorée vis à vis de l'ancien xScan et si l'appareil peut rivaliser avec les scanners de mode fonctionnement traditionnel.

Equipement, accessoires et caractéristiques du scanner de film

L'équipement du Reflecta x²-Scan est réduit mais complet. On reçoit respectivement un support de film pour une bande de film de 35mm pour plus de 6 images et un support de film pour plus de 3 diapos de 35mm encadrées. Sur le CD ci-joint, on trouve exactement le même logiciel que chez l'ancien xScan: Le logiciel de pilote Twain, le programme de traitement et contemplation d'image ArcSoft PhotoImpression 6, l'Adobe Acrobat Reader ainsi que le mode d'emploi. Celui-ci est même livré comme un petit livre imprimé en langue allemande, anglaise, française, italienne, espagnole et hollandaise. Le câble de raccordement USB est fermement lié à l'appareil. On n'a pas besoin d'un câble de courant ou de bloc d'alimentation car le scanner est alimenté en courant grâce au branchement USB.

Un accessoire inhabituel pour un scanner est la brosse livrée en même temps pour le nettoyage de la plaque verrée devant le détecteur à l'intérieur de l'appareil. Elle se compose d'une poignée en plastique avec une matière micro-fibreuse à la pointe, qui est très molle et par conséquent ménageant au verre, pour bien accueillir les peluches poussièreuses ou quelque chose de semblable.

Pour l'entreprise du scanner, cette brosse s'avère un accessoire très pratique et indispensable pour cet appareil. Le détecteur est mal protégé de la poussière à cause de sa situation sous l'ouverture du support de film, de sorte qu'on aura même besoin de la brosse pour une maintes fois afin de nettoyer le détecteur. Ceci fonctionne parfaitement avec la brosse sans endommager le verre.

Selon la description de fabricant, la vitesse de scan d'une image est juste d'une seconde comme il est le cas chez l'xScan. Avec cela, ce mini-scanner est 100 fois plus rapide que quelques scanners de film professionnaux. Même les données techniques n'ont pas changé (profondeur de couleur de 24 bits, résolution de 5 mégapixels, branchement USB 2.0) et elles parlent clairement la langue d'une caméra digitale. Avec x²-Scan, Reflecta a apporté sur le marché une solution intégrée complète à la numérisation de film avec l'aide de la technique des caméras digitales.

Le prix est le même que l'xScan et il est par conséquent de bon marché pour un scanner de film aussi rapide. Mais même chez x²-Scan, il est valable: Les données techniques du fabricant ne laissent pas s'attendre à une qualité d'image professionnelle. Si on scanne un intervalle d'image réalistique avec une résolution maximale optique de 1800 ppi, il reste environ 4 mégapixels. La densité maximale de 3,0 Dmax laisse fermer sur une étendue de densité de 2,5; c'est beaucoup trop faible pour sortir les détails dans l'ombre et parties lumineuses. Et une correction de poussière et d'éraflure automatique comme ICE ou iSRD n'est pas possible techniquement. En raison des données fabricant nominales, on ne doit pas avoir de grandes attentes en ce qui concerne la qualité d'image de cet appareil.

Comme il est le cas de son prédécesseur, le Reflecta x²-Scan n'est pas un scanner pour un archivage professionnel de ses diapos ou ses négatives mais plutôt un appareil pour apporter vite et simplement des images dans l'ordinateur pour par exemple les regarder dans l'ordinateur ou les publier sur l'Internet. Reflecta n'a pas fait un appareil professionnel de x²-Scan, ce qui n'était pas attendu.

Installation et mise en marche

L'installation du Reflecta x²-Scan se déroule comme chez la plupart des autres appareils USB. En premier, on installe le pilote Twain, de sorte qu'on met le CD livré dans le lecteur et on choisit l'installation de pilote. On installe également à travers un simple clic l'ArcSoft PhotoImpression 6 livrée ensemble.

Avant de brancher le scanner à l'ordinateur par USB 2.0, on doit enlever le CD du lecteur - Sinon, l'initialisation du scanner ne fonctionne pas et on reçoit de scanner un message d'erreur à l'essai. Si le CD est enlevé du lecteur et le scanner est branché, une fenêtre apparaît avec l'annonce que du nouveau matériel a été trouvé. Ici, on clique sur "installer automatiquement les pilotes" et exactement cela se passe tout de suite.

Un commutateur et un disjoncteur ne sont pas disponibles chez l'x²-Scan : Dès qu'il lié à l'ordinateur, la loupiote d'énergie commence à briller en bleu noble et le scanner de film devient opérationnel. Maintenant, la numérisation peut commencer. Au premier démarrage du logiciel de numérisation, le scanner sera calibré, c'est pouquoi on doit faire attention à ce qu'aucun film ne se trouve dans le scanner. Cela sera cependant clairement indiqué avant le démarrage du calibrage.

Scanner des diapos encadrées

Le support de film pour les diapos encadrées peut contenir plus que trois diapos. Celles-ci seront mises latéralement dans le support ouvert, après quoi on ferme le couvercle de nouveau. Les nouveaux supports de film font une impression valeureuse vis à vis à ceux de l'ancien modèle xScan. Ils ne s'approchent pas de la qualité des supports de film de Nikon, mais on n'a pas l'impression de tenir du plastique de meilleur marché dans la main.

On pousse le support équipé vers l'avant du scanner. A cela, on doit tenir compte du fait que le support de film ne se laisse pousser que d'un côté dans le scanner. L'alignement juste est marqué avec des marquages de flèche non seulement au support de film mais aussi au scanner. Le support s'enclenche aux positions justes, de sorte que le matériel cinématographique se trouve dans la position juste. On peut remuer le support de film dans les deux directions contrairement à ceux de l'ancien xScan. Si on a remué le support de film trop loin, on ne doit le faire glisser entièrement, et l'insérer de nouveau, mais on le repousse tout simplement de nouveau.

Il y a cependant une grande restriction chez le support de diapos : Les petits cadres avec un calibre de plus de 2 mm ne peuvent pas être mis - le support ne se laisse plus fermer. Reflecta n'a pas sans doute regardé en dehors de son propre bord d'assiette, car les petits cadres CS peuvent être utilisés sans problème grâce à leurs petites épaisseurs. Cette circonstance est absolument à tenir compte lors de l'achat d'un x²-Scan.

Chez le logiciel de scan, rien n'a été changé. Celui-ci ne se laisse démarrer qu'à partir de l'interface Twain d'un programme approprié. A côté de l'Arcsoft PhotoImpression livrée, cela peut être aussi un autre programme de travail d'image comme par exemple Adobe Photoshop^® Elements. A peu près confortablement, il ne se laisse scanner qu'avec le PhotoImpression livré : Seul avec ce programme, on peut établir s'il s'agit dans le cas du film mis d'une diapo négative ou d'un film n/b ainsi que de régler la résolution et la profondeur de couleur souhaitée. Lors de l'importation Twain sur Photoshop^®, on reçoit une image qui n'affiche qu'un film photographié. C'est celui-ci est un film de négatif, ainsi nous aurons une image négative sur le moniteur.

Bien sûr, tous les réglages que l'on peut faire avec PhotoImpression avant le Scan se laissent aussi faire ultérieurement avec Photoshop^®-cette procédure n'est pas particulièrement confortable, mais elle ne fait pas pas de différence qualitatives: PhotoImpression ne fait rien d'autre que de corriger automatiquement la photo du film et dans le cas échéant de le transformer en un positif. Les réglages possibles ici de la résolution (on pouvoir choisir entre 1800 et 3600 ppi) et de profondeur de couleur (24 ou 48 bits) ne mènent qu'à une interpolation supplémentaire. Le matériel fonctionne comme chez le modèle précédent qu'avec 1800 ppi et 24 bits.

Un Scan de diapo avec PhotoImpression se déroule très simplement : On clique tout d'abord sur "ouvrir la photo" et on choisit "saisir avec le scanner". On règle ici le format d'image souhaité (TIF ou JPG), on choisit le fichier de but, on met le type de film sur la diapo et on établie la résolution et la profondeur de couleur. Au cours de cela, il se recommande de laisser les deux réglages cités sur 1800 ppi et 24 bits, car comme il est déjà mentionné, les données seraient uniquement interpolées. Un choix de l'intervalle de scan n'est pas possible - la diapo sera complètement photographiée.

Avec un clic sur "saisir", il apparaît une fenêtre avec une image en direct du film mis. Si on s'est assurée que on a mis l'image juste, on clique sur "Snapshot" ou sur la touche Scan remodelée à l'appareil. Celle-ci prend presque tout le face supérieure de l'appareil de sorte qu'elle se laisse servir très confortablement. L'image scannée apparaît maintenant au bord supérieur de la fenêtre dans une bande de film stylisée. Maintenant, on peut pousser le support de film plus loin et faire un Snapshot de la prochaine diapo jusqu'à ce que toutes les diapos soient scannées. Bien sûr, on peut équiper de nouveau le support de film avec de nouvelles diapos. A travers un clic sur le Transfer, les images marquées seront maintenant stockées dans le fichier indiqué auparavant, qui sera ouvert automatiquement dans PhotoImpression et son contenu sera affiché à travers des icones de miniature réglables. On doit tenir compte du fait qu'il ne se laisse accueillir que 12 photos au maximum, avant qu'on ne clique sur Transfer pour stocker les images.

Scanner les bandes négatives

Le support de film peut accueillir une bande de film avec plus de six images. Au-dessus et au dessous de chaque image se trouve respectivement un doigt de guidage qui saisit dans la perforation et il fixe par conséquent la bande de film à la place juste.

La procédure pour le Scan de négatif n'est pas différente du scannage des diapos, à moins qu'on met sur "négatif" avant le scan du type de film c'est à dire lors de l'utilisation de PhotoImpression. Même le support de la bande de film est aussi muni de marquages avec lesquels on peut reconnaître l'alignement juste à intercaler dans le scanner et il s'enclenche aux positions justes pour le scan.

De plus longues bandes de film avec plus de 6 images ou des rouleaux de film entiers ne peuvent pas être scannés avec les supports de film livrés, car celles-ci ne sont pas construites ainsi qu'on pourrait laisser sortir un matériel cinématographique à leur extrémités. On ne peut pas introduire de films APS dans le support de bande de film.

L'insertion des bandes de film dans le support de bande de film est relativement simple, si les bandes de film sont plates. Si celles-ci sont ondulées ou courbées, l'insertion coûtera assez du temps car la bande de film glisse tout le temps lors de la fermeture de l'adaptateur des bande de film. Lors de l'insertion des bandes de négatif, on devrait absolument porter des gants cotonniers, sinon on touche rapidement la surface de film et on laisse des empreintes digitales laides.

Les logiciels livrés

Comme il est déjà décrit en haut, l'équipement logistique de Reflecta x²-Scan se limite comme chez son prédécesseur sur le logiciel de pilote Twain ainsi que sur ArcSoft's PhotoImpression 6. Il s'agit ici d'un petit outil mais fin pour l'administration, pour la contemplation et pour le traitement de photos digitales. Sur une manière non compliquée, les diaporamas se laissent édifier avec ou sans fond sonore, tourner les images, les trier, les imprimer, envoyer comme e-mail, renommer et convertir dans le mode de traitement par lots, ajouter des cadres et Cliparts aux images et effectuer de simples traitement d'images.

Les fonctions de traitement d'image prévues pour cela sont réparties dans de différents groupes. Sous "adapter" on trouve des outils comme par exemple pour régler la clarté, contrast et acuité, correction de couleurs, la correction automatique ou manuelle des yeux rouges et la coupe et le pivotement des images.

Le groupe des outils de "retouche" comprend des outils comme le pinceau de réparation, tampon de clone, éclairer/obscurcir, estomper, acérer et dessiner mou, qui sont tous réglables dans la grandeur et intensité de pinceaux. De plus, il y a ici un pinceau de peinture, une fonction pour dessiner des lignes ainsi qu'une gomme. Sous le groupe de "presse-papiers", vous trouvez des outils de choix, avec lesquels vous marquez des parties de l'image, les copier dans le presse-papiers, et à partir de cela, de les ajouter dans une image quelconque.

ArcSoft PhotoImpression 6 est facile à utiliser et il est amusant de donner du pep à ses photos avec ce logiciel. Au sujet d'extension, on ne peut pas le faire comparer avec les fonctionalités d'Adobe Photoshop^® Elements, mais ce logiciel coûterait déjà presque autant que celui de Reflecta x²-Scan avec PhotoImpression.

Qualité d'image

Maintenant, nous arrivons au point culminant de notre test, qui nous intéresse le plus: Est-ce que la qualité d'image non convaincante du prédécesseur s'est améliorée chez x²-Scan?

Bien sûr, on ne peut pas s'attendre chez le x²-Scan, qu'il est comme un scanner qui fonctionne selon le principe d'une caméra digitale, cela signifie que celui-ci photographie simplement la présentation en livrant de bons résultats comme un véritable scanner, qui exploite le film ligne par ligne. Même le prix parle déjà contre cela.

Le Reflecta x²-Scan se comporte comme une webcam. On voit sur le moniteur une image en direct de la caméra incorporée et on peut faire une image fixe par pression de bouton. Et la qualité de celle-ci dans l'état à la livraison est malheureusement moins convaincante que celle du prédécesseur. Certes, le x²-Scan apporte relativement beaucoup du dessin dans les parties d'image sombres, pour cela les parties d'image claires s'arrachent beaucoup trop tôt. Seuls quelques endroits peu claires présentent aucun dessin.

Cette circonstance se laisse réparer avec un petit truc, de sorte qu'on reçoit des scans avec une luminosité équilibrée. Pour cela, le fichier "OVTParam.set" doit être modifié dans le dossier du programme Photolmression (par défaut dossier "C:\Programme\ArcSoft\PhotoImpression 6"). Fermez d'abord PhotoImpression et veuillez faire une copie de sauvegarde de ce fichier, de sorte que vous pouvez à tout moment rétablir l'original, si quelque chose tourne mal. Ensuite, vous ouvrez le fichier original "OVTParam.set" avec un éditeur de texte. Dans le paragraphe [Slide] vous changez ensuite la valeur derrière Para3= de 0x10:0x08 vers 0x10:0x05. Vous remplacer uniquement le 8 de la dernière position de cette ligne avec un 5. Sauvegardez maintenant ce fichier (et transcrivez ensuite l'original).

Si vous scannez la prochaine fois avec le x²-Scan à travers le PhotoImpression, vous verrez que l'image présente maintenant une luminosité correcte. Ce truc fonctionne exclusivement sur les scans à travers PhotoImpression. Cette procédure ne fonctionne pas sur d'autres programmes. Veuillez tenir compte,qu'avec cette action, vous changerez seulement la luminosité- l'étendue de contraste ne sera pas changée.

Celui-ci n'a pas augmenté comparé au modèle précédent et il continue à être très faible. Dans les parties plus sombres de l'image, qui seront représentées sans problèmes par les scanners de film de haute qualité, et même les parties d'image plus claires s'arracheront rapidement.

Pour pouvoir se faire une impression de la qualité d'images, nous avons ajouté ici trois exemples d'image. Le premier montre un scan avec les réglages d'oeuvre de x²-Scan. Pour la deuxième image, nous avons adapté la luminosité sur le changement du fichier "OVTParam.set". Dans la dernière image vous voyez un scan de comparaison de la même diapos avec le Nikon CoolScan 5000 ED (la vedette parmi les scanners de film, que nous utilisons aussi dans le cadre de notre Scan-Service) - sans effectuer aucune correction dans le logiciel de scan, ce qui ne serait de toute façon pas possible chez le x²-Scan. Vous pouvez ainsi voir comment l'image devrait avoir l'air. Cliquez sur les thumbnails pour recevoir une représentation agrandie des images.

Lors d'un test de résolution avec le USAF-Testchart, on peut juste distinguer avec une bonne volonté les lignes horizontales de l'élément 4.6 et les lignes verticales de l'élément 4.4. De cela, il résulte une résolution moyenne d'environ 1300 ppi. Ce sont 72% de la résolution nominale. La résolution du x²-Scan s'est dégringolée vis à vis à son prédécesseur qui obtient une résolution efficace de 1500 ppi. Pour exclure que nous ayons utilisé un modèle défectueux pour le test, nous avons effectué le même test avec deux appareils supplémentaires et nous avons trouvé le même résultat. Cela aurait été bien si l'appareil avait atteint au moins la résolution de son prédécesseur de 1500 ppi. Le fait qu'un modèle de succession est plus mauvais que son prédécesseur est très exceptionnel et dans mes yeux incompréhensible.

Si on fait un scan avec le Reflecta x²-Scan avec la résolution la plus élevée de 1800 ppi, ainsi on reçoit efficacement une image avec une résolution de seulement 1300 ppi. Chez le format de petite image (36x24 mm) ceci signifie qu'un tel scan contient uniquement 2,3 mégapixels d'informations d'image. Les meilleurs scanners de film atteignent 10-20 mégapixels avec des formats de petite image.

Le manquement d'une correction de poussière et d'éraflure est conditionné au système et s'afflue négativement sur la qualité d'images: Même chez les présentations nettoyées soigneusement, on peut voir beaucoup de grains de poussière et peluche dérangeants sur l'image. Et qui voudrait nettoyer ses films substanciellement avant chaque scan avec lequel on doit particulièrement vite et simplement pouvoir travailler?

Comme on voit le Reflecta x²-Scan n'est pas approprié à archiver ses images précieuses ou à édifier des scans pour des fotoprints de haute qualité. Son domaine d'utilisation est et reste clairement la numérisation des matériaux de film pour une transmission vite par e-mail, pour envoyer par exemple des instantanés du dernier congé à ses amis ou pour apporter son film pour la sélection dans l'ordinateur afin d'agrandir ultérieurement les photos choisies ou les faire scanner correctement.

Vitesse de scan

La vitesse de scan conditionnée au système devrait être beaucoup plus élevée vis à vis des scanners conventionnels. Et l'édification d'un instantané dure vraiment qu'1 seconde comme il a été indiqué par Reflecta. L'édification d'un fichier d'image terminé, qui se tient après le clic sur "Transfer" dans la fenêtre de scan, dure dépendamment de la performance de l'ordinateur ainsi que de la résolution et profondeur de couleur réglées, environ une demi-minute. Ceci peut être même réussi par un scanner de film normal. Même ici, il n'y a pas d'amélioration comparé au prédécesseur - les temps de traitement sont restés les mêmes.

Il n'y a pas de différence dans la vitesse de scan lors du traitement des diapos et négatives.

Les temps de scan indiqués ont été effectués par un ordinateur avec un processeur Pentium de 3 GHz et avec une mémoire vive de 2 GB. Le scanner était branché par un branchement USB 2.0. Les temps de transfert s'agrandissent considérablement, si on utilise un liaison USB plus lente de 1x à la place d'un branchement USB de 2.0.

Résumé, bilan

Le Reflecta x²-Scan ne se différe que faiblement de son prédécesseur x-Scan. Seulement le design de l'appareil et le support de film ont changé légèrement. La qualité d'images laisse beaucoup à désirer. L'étendue de contraste est simplement trop faible et la résolution efficace obtenable de 1000 dpi produit juste des fichiers d'images d'environ 2 mégapixels; ceci est aujourd'hui atteignable par les simples caméras numériques de portable.

Le X2-Scan est un appareil très bon marché pour une numérisation rapide et et simple du film pour des utilisations simples. Celui qui voudrait vite scanner quelques diapos ou des négatives, pour les envoyer à des amis ou pour édifier un album de web, il se débrouille parfaitement avec cet appareil. L'appareil ne convient pas pour l'archivage unique et durable de son stock photographique. Si on scanne sa collection complète avec le x2-Scan, on ne doit pas éliminer les originaux, car on voudrait peut-être les scanner correctement un jour.

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