Bulletin de test du scanner Plustek OpticFilm 120
Après l'apparition en 2011 des rumeurs et des informations sur un nouveau scanner moyen format de Plustek, Plustek OpticFilm 120 a été présenté en 2012 dans la foire photokina. Mais la commercialisation officielle a été toujours reportée. En janvier 2013 et dans les mois suivants apparaissaient quelques appareils sur le marché. Ainsi, on a du mal à préciser la date correcte de la commercialisation, grosso modo c'était le printemps 2013.
Si on examine les données techniques de Plustek, on se rend compte qu'il n'y met pas le paquet. Avec une résolution physicale de 5300 dpi et une interpolée de 10600 dpi, une étendu de densité de 4.01 et une dimension de film maximale de 60x120 mm, le scanner moyen format apparait être sur le marché avec un prix abordable pour beaucoup de photographes moyen format, qui n'ont pu bénéficier d'un Nikon Super Coolscan 9000ED.
Comment fait Plustek OpticFilm 120 ses preuves dans la pratique et quelles performances atteint t-il, on le saura dans le bulletin de test suivant. Naturellement, on s'occupe aussi et toujours du modèle concurrent Reflecta MF5000 déjà disponible en septembre 2011 sur le marché. On analyserons aussi le fait si Plustek OpticFilm 120 peut surpasser le leader incontesté dans le domaine moyen format Nikon Super Coolscan 9000ED ou si Nikon 9000 conservera sa première place avec ses caractéristiques transcendantes.
The Plustek OpticFilm 120 is not available any more since 2019.
Equipements, accessoires et caractéristiques de Plustek OpticFilm 120
Comme on est déjà habitué de Plustek, Plustek 120 sera livré dans un colis orange avec poignée. Ce colis contient tout ce qu'on a besoin pour démarrer directement la numérisation. Le scanner lui-même a un boîtier métallique robuste et noble. La façade du scanner est conçue en plastique noir brillant, sur laquelle repose le logo Plustek illuminant en bleu après sa mise en service en renonnçant ainsi à un affichage supplémentaire du statut DEL. On trouve en plus un bouton pour la mise en service ou hors service, qui s'allume rouge selon le mode d'exploitation et un autre bouton pour le rejet de la glissière film sur la façade brillante de 210 x 374 x 189 mm. Plustek OpticFilm 120 posséde un poids léger de 5,7 kg vis-à-vis à celui de Nikon 9000 de 9 kg avec des dimensions encore plus grandes.
Si on examine l'envers du scanner, on comprend le fait pourquoi Plustek est aussi petit et léger: A l'arrière on trouve un couvercle protegeant le fente de la glissière, l'USB 2.0 et le port d'alimentation. Pour mettre le scanner en service, on doit rabattre le couvercle. La fente de la glissière est protégée avant et arrière d'un clapet intérieur. Ceci prévient l'accès de la poussière dans l'appareil, lors de sa mise en position sur le bureau. Cependant, on ne voit pas l'intérêt du grand clapet, car l'intérieur du scanner est protégé par le couvercle de la glissière. Le port USB et le liaison câble n'ont en pas besoin. Le sens unique de ce clapet supplémentaire à l'envers du scanner est le fait que la glissière se rejete de 10cm à l'arrière lors de la numérisation. Sinon ce clapet représente une pièce gênante et énervante sur le bureau.
Dans le volume de livraison, on trouve sept supports inclus: Deux supports de 35mm et cinq moyens formats (films 120/220mm). On est déjà surpris, car les scanners moyen format des dernières années s'en tirent bien avec 3 supports de film. Si ces supports de film ont un avantage dans la pratique et s'ils font qu'augmenter le prix de l'appareil, on l'examinera au-dessous.
Le support des diapos de 35mm encadrées comporte 5 images et le support des pellicules de 35mm contient deux pellicules avec 6 images respectives. Ceci est reconnu depuis une dizaine d'années de Nikon 9000. Chez les supports moyen format, on distingue pour chaque format d'enregistrement un support supplémentaire. Le support des films 6x4,5cm peut incorporer jusqu'à 4 images. 3 images respectives peut être insérées dans les supports 6x6cm et 6x7cm. La numérisation simultanée des images 6x8cm et 6x9cm est possible, de sorte que ces deux formats se partagent un support de film. Les images panoramiques moyen format peuvent être numérisées séparément dans un support 6x12cm.
L'insertion des glissières s'effectue par une fente sur la façade et dés que l'appareil saisit la glissière, elle sera fermée automatiquement. Ce mécanisme est exactement connu de Nikon 9000. Dans le volume de livraison on distingue aussi deux films protecteurs. Ceux-ci peuvent être utilisés pour couvrir les zones libres dans la glissière de 35mm et pour prévenir l'incidence éventuelle sur le film. Même cela est connu dèjà de Nikon Super Coolscan 9000. Cependant, Nikon fournit ce film protecteur même pour les moyens formats.
Le bloc d'alimentation inclu est approprié pour 100-240V et 50-60 Hz. Comme chez tout les scanners Plustek OpticFilm, on trouve aussi le logiciel de scan SilverFast. Dans la boîte logiciel, on identifie SilverFast Ai Studio 8 et même le CD driver de Plustek. On a malheureusement renonncé à un manuel imprimé. A partir du CD Plustek, On a recours écologiquement sur la version en ligne ou PDF. Le manuel PDF est disponible en 12 langues sur le CD. A côté des versions courantes en anglais, allemand, français, espagnol et italien, on la trouve aussi en portugais (brasilien), russe, polonais, coréen, japonais et en chinois traditionnel et simple. Un petit guide imprimé se trouve aussi dans le scanner.
Le scanner dispose d'un capteur CCD et une source lumineuse DEL. Comme résolution physique, Plustek donne 5300 dpi, qui peut être interpolée jusqu'à 10600 dpi. Les photographes professionnels n'utiliseront jamais l'interpolation du scanner ou du logiciel de scan. S'il y a quelque chose a interpoler, ceci s'effectue rapidement avec le programme de traitement d'image. Si Plustek OpticFilm 120 atteint les 5300 dpi évoquées dans la pratique, il sera déterminé dans notre test de résolution au-dessous.
Comme étendu de densité, Plustek donne une valeur de 4,01, qui ne sera atteinte qu'avec la fonction Multi-Exposure de SilverFast. Selon le fabricant du logiciel Lasersoft Imaging, la fonction Multi-Exposure améliore l'étendu de densité du scanner de 1,0, alors on estime que Plustek OpticFilm 120 atteint une étendu de densité de 3,2, qui n'est pas une valeur terrible. Ce que signifient exactement les valeurs numériques des étendus de densité et une augmentation de densité de 0,8, vous le trouverez éclairé en détail sur notre page densité et étendu de densité des scanners.
Comme un autre équipement marquant, on évoque le fait que Plustek OpticFilm 120 a un capteur infrarouge, qui permet une correction automatique de poussière et d'égratignure contenue dans SilverFast Ai Studio iSRD. Cette fonctionnalité est actuelement standard dans le domaine des scanners de film amateurs et professionnels. Seul les scanners de film bon marché ou les appareils haut de gamme comme Flextights de Hasselblad n'ont pas un canal infrarouge.
Comme un caractére négatif absolu, on mentionne le fait que Plustek OpticFilm 120 ne posséde pas un autofocus. Un tel scanner coûteux sans fonction autofocus? On ne l'a pas attendu, sutout qu'on s'est habitué des appareils bon marché à effectuer un réglage netteté automatique avant le scan.
Installation et mise en service de Plustek OpticFilm 120
Pour la mise en service du scanner, on veille en premier à l'alimentation électrique, de sorte qu'on branche le bloc d'alimentation livré. Ensuite, on relie le scanner au PC par le câble USB. On doit faire attention de ne pas utiliser aucune interface USB mais à brancher le scanner à un port USB lié directement à la carte mère. La connection par une interface USB et même par celle située dans la façade d'un PC conduit fréquemment à des problèmes d'installation et d'exploitation.
On peut après démarrer l'installation de logiciel. Le CD Plustek contenant le driver du scanner doit être installé en premier. Ceci sera achevé avec quelques clics de souris. Finalement on insére le CD SilverFast CD dans lecteur et on démarre l'installation. Pourquoi l'installation de Plustek se déroule sur deux étapes, il reste un mystère. On pouvait installer le driver directement avec le logiciel SilverFast comme il est le cas chez les autres scanners de film.
Après avoir conclu l'installation du logiciel, le PC nécessite un nouvel démarrage du système. Après le redémarrage, on peut allumer le scanner et démarrer SilverFast. Avant la mise en service, on recommande d'examiner, s'il y a des mises à jour de SilverFast. Celles-ci peuvent être effectuées directement de la page web Lasersoft Imaging ou par le dialogue service dans le logiciel. Faites attention que le logiciel doit être enregistré pour recevoir les mises à jour.
SilverFast peut être exécuté dans 10 langues différentes. Une installation supplémentaire n'est pas nécessaire. Sur l'écran de démarrage de SilverFast, on peut régler la langue sous la source d'image.
Si on démarre SilverFast, on doit choisir le mode de scan avant d'effectuer un scan d'aperçu. Pour cela, on sélectionne quelle glissière a été insérée dans le scanner. Ce choix est nécessaire, car Plustek OpticFilm 120 ne dispose pas d'une identification automatique de glissière comme Nikon Super Coolscan 9000 ED. Celui qui numérise par lots des films de même format, ne devra sélectionner qu'une fois la glissière utilisée. En cas des formats différents, on doit choisir régulièrement la glissière correspondante lors du son changement. Toutefois, la sélection du mode de scan est possible avant et après l'insertion de la glissière. Aussitôt que le mode de scan correpondant est choisi, le scanner et le logiciel seront prêt pour la numérisation.
Numérisation des diapos encadrées et des pellicules de 35mm avec Plustek OpticFilm 120
Malgré que Plustek 120 est plutôt intéressant pour les photographes moyen format, on commence avec le standard de la photographie analogique à savoir le format de 35mm. Pour la numérisation des diapos encadrées de 35mm, on dispose d'un support film incorporant jusqu'à 5 images. L'extrait d'un format paysage dans ce support mesure 25 x 37 mm, de sorte que la numérisation des cadres diapos Wess AHX500K ne pose pas de problèmes.
Les côtés des échancrures sont biaisées et mates. Ceci empêche une réflexion lumineuse par le support film. Un sorte de ressort sur l'un des côtés et un nez sur l'autre fixent les diapos dans le cadre. Un ressort est cependant une pièce d'usure, qui peut se rompre après plusieurs insertions et enlèvements des diapos. Les caches diapos avec une épaisseur de 3mm se laissent insérer sont problèmes. La mise en position et l'enlèvement des diapos se déroulent fiablement et confortablement. Les diapos trop épaisses p.ex. celles collées ensemble ou les caches vitrées doublement des années 70. se laissent certes incorporer mais la tenue en place ne s'effectue pas complètement. Si on a équipé le support de film, on peut déjà débuter avec la numérisation.
Avant d'insérer le support équipé avec les diapos dans le scanner, on recommande son nettoyage des particules et de saleté, avant qu'elles ne se propagent à l'intérieure du scanner. Ça suffit une pulvérisation avec une bombe à air comprimé ou l'utilisation d'une brosse antistatique.
Nous atteignons maintenant la numérisation des pellicules de 35mm. 12 images se laissent insérées dans le support des pellicules de 35mm. Ainsi, on peut numériser par lots deux pellicules à 6 images. On peut naturellement insérer des petites pellicules ou 12 images maximales. Pour équiper le support, on doit en premier l'ouvrir. Les aimants veillent à ce que le support fixe les pellicules. Egalement ce support de film a des âmes de séparation biaisées et mates pour prévenir les réflexions lumineuses. La plate-forme se laisse ouvrir confortablement et sera fermée sûrement par des fixations magnétiques. Si on veut charger ce support avec des images ou deux pellicules, il en faut du doigté. Recommandable est le fait d'utiliser une pincette avec des pelles aplaties et la portée des gants en coton. Deux flèches sur la plate-forme indiquent la direction d'insertion du support.
Dans le volume de livraison on dispose de deux films protecteurs. Ceux-ci peuvent être utilisés pour couvrir les zones libres du support film pour protéger le film de l'incidence lumineuse.
La plate-forme de film sera mise en place dans la fente du scanner en considérant la direction de la flêche. L'insertion automatique saisit la plate-forme après quelques secondes et incorpore automatiquement le support. Dans le logiciel SilverFast, on ne doit que choisir le mode de scan. Par le bouton aperçu, on peut obtenir un affichage miniature de toutes les images dans le support film. Toutes les images marquées en bleu dans cet aperçu seront numérisées par lots. Si on veut seulement un aperçu de la première image, on peut également cliquer sur le bouton "aperçu". Si tous les réglages sont faits, on peut débuter la numérisation. Pour numériser les images marquées dans auparavant, on démarre le "scan par lots" dans l'index menu "image". Le scanner commence à bourdonner comme un portable vibrant en mode silencieux et numérise au fur et à mesure les images sélectionnées.
Si tous les scans sont exécutés, on peut libérer la plate-forme par la touche d'éjection sur la façade du scanner. Une plate-forme supplémentaire est recommandable pour préparer la deuxième charge jusuq'à ce la première a fini la numérisation. Ceci permet un flux de travail sans interruption. Dans notre boutique en ligne, vous trouverez des supports Plustek livrables.
Car la plate-forme ne dispose pas d'une identification automatique, on peut avec une astuce même numériser une petite image panoramique avec une longueur de 7,4 cm. Celle-ci peut être mise en position à gauche au-dessous de la plate-forme de 35mm, car il n'existe aucune âme de séparation dans cette position. Dans SilverFast, on doit sélectionner la plate-forme 6x8 cm au lieu de celle de 35mm et déjà on peut numériser une image panoramique de 35mm. On doit touours utiliser le cadre inférieur car l'image sera un petit peu réduite dans le supérieur.
Numérisation des moyens formats avec Plustek OpticFilm 120
La tâche principale de Plustek OpticFilm 120 est la numérisation des moyens formats, car il y a des solutions bon marché pour la films de 35mm. Chez ce scanner, les fans devront se réjouir des images panoramiques moyen format 6x12 cm, car ceci est également possible avec Plustek OpticFilm 120. Pour chaque format, on dispose de l'un des cinq supports de film 120/220 mm. Sur le premier coup d'œil, on peut reconnaitre des parallèles avec les supports de Nikon 9000. Les dimensions et le poids sont les mêmes, les deux sont noirs et en plastique. Même les supports de film de Plustek ont sur les côtés de guidage; un côté plat et un autre avec des âmes, afin que l'insertion saisit le support film. Egalement les flêches noires de la direction d'insertion sont disponibles chez les deux fabricants. Après cela, les similarités prennent fin.
Chacun des supports moyen format est équipé avec une masque ajustable. Cette masque comporte plusieurs pièces et se laisse déplacer horizontalement. Elles permettent le réglage des âmes de séparation entre les images, de sorte que tout autour de l'image sera maintenu noir. Ainsi, les supports de film seront flexibles pour le chargement. Les deux supports moyen format 6x6 cm und 6x7 cm possédent des âmes de séparation non mobiles pour l'image centrale et les dimensions des deux images externes du support 4,5x6 cm sont préfixées. Même les supports moyen format ont des âmes de séparation mattes en plastique et sont munies avec des arêtes biseautées pour empêcher la réflexion de la lumière. Les charnières avec des goupilles métalliques veillent à la prévention des usures même après avoir équipé le support film. Les aimants garantissent que la plate-formes seront bien fermées et qu'elles restent encore faciles à ouvrir sans courir le risque de rompre quelque chose. Un clapet mobile avec une glissière de verrouillage pour tendre les films comme il est le cas chez Nikon 9000 et Reflecta MF5000, est absente chez les supports film de Plustek OpticFilm 120. Ainsi, une situation plane perfaite des images n'est pas possible. Chez les films extrêmement voûtés et annelés, on ne peut atteindre une situation plane avec les supports Plustek, de sorte qu'on doit s'attendre à des floutés.
Le chargement des plate-formes avec des bandes moyen format se déroule facilement. Si on posséde des images découpées, on doit procéder avec une motricité fine. Cependant, ceci devient plus simple avec un peu d'exercice. Une pincette avec des pelles plates nous facilite l'insertion. Ceci vaut même pour le maniement des films moyen format, qui nécessitent généralement la portée des gants en coton. Egalement, le nettoyage des films avec de l'air comprimé ou bien des brosses antistatiques avant la numérisation.
On doit toutefois faire attention sur le fait que la construction variable de l'âme de séparation ne couvre l'image, que lorsque les éléments se juxtaposent. Au cas contraire, les espaces libres permettent l'incidence de la lumière diffuse. Cet effet devient plus visible avec les négatifs, car les bordures de film sont translucides au contraire de celles des diapos. Si les effets de la lumière diffuse peuvent être si aggravantes, alors on se pose la question, pourquoi Plustek a du construire des âmes de séparation variables et non fixes.
Car les côtés des plate-formes sont plats, on peut mettre en position des films longs et non exactement coupés. Ainsi, on n'aura pas besoin d'une découpe supplémentaire des films. Une pellicule insérable doit avoir une longueur maximale de 27,5 cm, tandis que la zone de numérisation maximale est de 6x12cm.
Si l'équipement de la plate-forme est accompli, on peut l'insérer dans le scanner. Le scanner saisit directement la plate-forme et l'insére automatiquement. Dans SilverFast, on doit sélectionner le mode de numérisation correspondant, car s'il reste dans une diapo de 35mm, il ne numériserait qu'un extrait de l'image. Si le mode parfait a été choisi, on peut démarrer un préscan. On peut afficher toutes les images situées dans la plate-forme par le bouton d'aperçu. Eventuellement, on pourra exécuter un préscan d'une autre image avec les réglages de logiciel correspondants. Au cours de cela, on dispose du spectre complet de SilverFast Ai Studio.
Si on démarre un scan, le scanner bourdonne comme un portable vibrant en mode silencieux, avant d'éntendre un claquement du scanner, qui sera un indice du début de l'exploitation de l'image. De temps en temps, on entend aussi un ronronnement habituel des scanners de film. Après avoir terminé l'exploitation, le scanner attend silencieusement jusqu'à ce que le processus est accompli. Si SilverFast affiche la terminaison de la démarche, on peut sortir le support en activant la touche ejection de la façade du scanner et en insérant le second. Celui qui numérise beaucoup de films d'un seul type p.ex. un archive complet des images 6x6, on lui recommande un deuxième support film, de manière à ce qu'on l'équipe pendant que le premier se trouve encore dans le scanner.
Quelles sont les limites de Plustek OpticFilm 120? La longueur maximale s'élève à 6 x 12 cm; les grandes images panoramiques ne peuvent pas être traitées par Plustek 120. En plus, les moyens formats doivent être sans caches c.à.d. on est obligé à les enlever des cadres diapos ou des passe-partouts.
Le logiciel livré de Plustek OpticFilm 120
Contrairement à beaucoup d'autres fabricants, Plustek rennonce à son propre logiciel de scan et livre l'OpticFilm 120 avec seulement SilverFast Ai Studio 8 de Lasersoft Imaging. Avec une diapo de calibrage optionnelle IT-8, ce logiciel permet même le calibrage du scanner. De la part de Lasersoft Imaging, il y a des films Kodak, Fuji et Kodachrome pour la diapos de calibrage IT-8. SilverFast Ai Studio peut édifier et gérer plusieurs profils de couleurs. Celui qui veut numériser les films Kodak et Fuji, il peut élaborer avec une diapo de calibrage Kodak ou Fuji un profil de couleurs correspondant et sélectionner le type de film avant la numérisation.
SilverFast Ai Studio offre une multitude de réglages pour tirer le maximum de son film. La fonction Multi-Exposure augmente l'étendu de dynamique du scanner, de sorte qu'on obtient suffisament de dessins dans les extraits claires et sombres.
Avec Archive Suit optionnellement disponible (une combinaison de SilverFast Ai Studio et SilverFast HDR Studio), on peut se permettre l'édification des scans RAW pour exécuter ultérieurement les étapes de traitement dans le logiciel HDR. Avec l'option de numériser les images en HDRi, on a la posibilité d'exploiter manuellement les informations du canal infrarouge. Pour l'utilisation professionnelle, on recommande en tous les cas d'utiliser Archive Suite. Des informations détaillées sur SilverFast et ses fonctionnalités sont disponibles sur notre page questions et résponses- SilverFast.
La qualité d'image de Plustek OpticFilm 120
Nous atteignons maintenant les questions les plus importantes de ce bulletin test: Quelle qualité d'image peut être attendue avec Plustek OpticFilm 120? Suffit-elle pour les scans moyens formats de haute qualité et atteint-elle même la qualité de Nikon 9000?
Résolution effective de Plustek OpticFilm 120
Jetons en premier un coup d'œil sur les données du fabricant. Plustek indique une résolution optique maximale de 5300dpi. Ceci résulte chez un moyen format de 6x7 cm des pixels de 12500 x 14600 px. Ceux-ci représentent 182 mégapixels pour un scan moyen format de 6x7 cm, c.à.d. le double qu'atteint maintenant un appareil photo numérique moyen format.
Ces valeurs s'enttendent très bien. Comment s'avère la résolution effective dépendante de plusieurs facteurs que le nombre des points d'images saisissable physiquement par un capteur CCD, on l'analysera dans un test de résolution avec un diagramme USAF-1951 (voir en plus notre page sur la résolution):
L'image suivante affiche la partie intérieure d'un scan avec une cible USAF. Chez un scan avec 5300 dpi, les lignes horizontales de l'élément 2 du groupe 6 (correspond à 3649 dpi) sont distinguables des lignes verticales de l'élément 1 du groupe 6 (correspond à 3251 dpi). Par ces deux valeurs, on peut calculer une résolution effective moyenne de 3450 dpi. Ceci correspond à 65% de la résolution nominale donnée par Plustek. Une valeur extrêmement élevée vis à vis des autres scanners de film de la maison Plustek. Que signifie cela dans la pratique?
Un moyen format 6x7 cm numérisé avec 3450 dpi a des pixels de 8150 x 9500. Ceci correspond à 77 millions de points d'image. Un tel fichier d'image a une dimension de 230 Mo dans un format TIF non comprimé. Un fichier d'image avec un telle nombre de points d'image permet d'exécuter avec une qualité élevée des imprimées grand format jusqu'à 70x85 cm.
Pour obtenir un scan avec une résolution effective 3450 dpi, on doit numériser avec une résolution optique de 5300 dpi. Le désavantage est de produire un fichier d'image de 182 mégapixels, desquels seulement 77 mégapixels sont réels. Les 100 millions points d'image existent en double ou en triple et doivent être comprimés. La numérisation avec une telle résolution nominale élevée résulte des temps de scan relativement élevés (voir notre chapitre vitesse de scan) ainsi qu'un grand effort pour le traitement des images. Non seulement pour la numérisation mais aussi pour le traitement et la compression, on aura besoin d'un PC performant.
Plustek OpticFilm 120 atteint avec une résolution optique de 5300 dpi, une résolution effective de 3450 dpi c.à.d 65% de sa résolution nominale.
Jetons en conclusion un coup d'œil sur les modèles concurrents: Nikon Super Coolscan 9000ED numérise certes avec une résolution nominale de 4000 dpi, mais il atteint en pratique 3900 dpi, c.à.d. 98% de la résolution nominale. Ainsi, l'utilisateur Nikon s'épargne après la numérisation la compression lente des fichiers d'image gonflés. Même Reflecta MF5000 atteint une résolution effective élevée vis à vis de celle optique, de sorte qu'on peut s'en passer de la compression après la numérisation. Avec une résolution de 3450 dpi, Plustek OpticFilm 120 se classe enre Nikon LS-9000 ED et Reflecta MF-5000.
Correction de poussière et d'égratignure iSRD
Primordial pour la qualité d'image lors de la numérisation des images colorées est la correction de poussière et d'égratignure basée sur le matériel, il s'agit dans ce cas de iSRD de SilverFast Ai Studio. Une correction de poussière et d'égratignure automatique et fonctionnelle contribue à réaliser une bonne qualité d'image sans traitement ultérieur. Egalement ici, on laisse comparer Plustek OpticFilm 120 avec Nikon Super Coolscan 9000. Si on clique sur l'image ci-contre, l'affichage commute entre le scan de diapo sans iSRD ou avec iSRD en utilisant Plustek OpticFilm 120 ou Nikon 9000.
Il s'agit d'un extrait d'une diapo de 6x7 cm. Cette partie a une dimension de 11 x 15 mm dans une diapo originale. On peut remarquer le fait que les particules de poussière et d'égratignure sont éliminées avec iSRD de Plustek. Cependant, on s'apperçoit du fait que des grandes égratignures sont encore visibles sous la feuille de palmier. Lors du scan avec Nikon Coolscan 9000, cette égratignure sera écartée complètement.
Comme l'image suivante le démontre, cet effet sera encore plus net lors du scan des négatifs avec Plustek OpticFilm 120. Malgré l'utilisation de l'élimination de poussière et d'égratignure, il reste des résidus d'égratignure dans les surfaces homogènes comme le ciel. Si on clique sur l'image, l'affichage commute entre la vue d'ensemble et l'extrait d'image marqué en rouge. Les flêches éclaircissent les parties à traiter manuellement dans Photoshop®. On peut certes régler par le dialogue expert l'identification et la grandeur défaut dans l'échelle 1-20 ou 1-10, mais une échelle encore élevée identifiera les détails d'image comme salissure. En cours de notre test, on a utilisé les réglages "identification 6" et "grandeur défaut 3".
La correction de poussière et d'égratignure fonctionne très bien avec les films positifs, mais les grandes égratignures doivent être éliminées avec Photoshop®. Même le traitement ultérieur des négatifs égratignés ne reste pas épargné. En général, la correction de poussière et d'égratignure iSRD assure de bons résultats contribuant à une amélioration de la qualité d'image. On aborderait au dessous dans un propre chapitre les résultats de la correction de poussière et d'égratignure lors de la numérisation des diapos Kodachrome.
Affichage couleurs, profondeur et luminosité
Des critères importants de la qualité d'image représentent l'affichage couleurs et les dessins de profondeurs et de la luminosité. Lors de l'affichage couleurs, on laisse comparer Plustek OpticFilm 120 contre Reflecta MF 5000 avec SilverFast Ai Studio. Les deux scanners seront calibrés auparavant avec une diapo de calibrage IT-8. L'image ci-contre a été numérisée respectivement avec les deux scanners. Si on clique sur l'image, il s'ouvre une animation commutant entre les deux scans. On peut remarquer clairement, que les différences entre les couleurs sont minimales. Plustek reproduit l'image avec des couleurs plus chaudes que Reflecta MF 5000. La variation meilleure reste une question de goût.
Particulièrement les parties ombreuses et sombres seront bien découvertes dans les photos du chemin de fer. Les passages de roue et les zones jusqu'à la voie ferrée sont sombres et même les locomotives sont noires pendant que les autres parties (arrière-plan) sont claires. Le plus imporant chez les amis du chemin de fer est de tirer numériquement quelque chose des zones sombres. C'est pourquoi, notre exemple démontre une telle diapo de chemin de fer. Si on clique sur l'image, une nouvelle fenêtre s'ouvre avec un agrandissement de l'extrait marqué en rouge. Pour en profiter complètement de l'étendu de la dynamique, on a numérisé l'image avec les deux scanners avec Multi-Exposure. Les détails techniques du chemin de fer se laissent bien identifier. On ne voit aucuns "trous noirs". Ce qui vaut pour les photos de chemin de fer et de même pour tous les motifs ombreux. Chez les images contrastées, il y a à côté des profondeurs même les expositions, dans laquelles on devra distingué des dessins.
Pour bien afficher les dessins en exposition, on a numérisé une diapo représentant un hôtel illuminé en Noël. Egalement ici, on a utilisé Multi-Exposure pour exploiter la densité dynamique de 4.01 indiquée par Plustek. Comme il est le cas des exemples de la profondeur, une image détaillée s'ouvre de la zone marquée en rouge. Un agrandissement permet d'identifier les petites ampoules de la guirlande lumineuse avec des dessins suffisants. Même de la façade de l'hôtel illuminée clairement, on peut aussi capturer la structure muraille. Les scanners simples affichent seulement une surface grise claire et homogène. Pour atteindre cette densité, il est indispensable de numériser avec Multi-Exposure. Comment cette fonctionnalité influence les temps de scan, on l'a listé dans le tableau ci-dessous.
Ce qu'on a pu apercevoir dans nos tests, qu'il se construit des bordures colorées avec les contrastes forts. Si on observe l'image comme une image d'ensemble sur le moniteur, on ne peut pas les identifier immédiatement, mais elles seront visibles dans la perspective 100%. Ainsi, ces bordures seront même visibles dans une impression agrandie.
Sur notre diapo moyen format 6x7cm numérisée avec une résolution de 5300 dpi, on peut identifier le palmier situé en ombre et que ces feuilles sont entourées d'un bord cyan. Ceci se laisse distinguer du ciel bleu clair en arrière-plan. A côté de la branche en arc à gauche dans la vue en détail, on peut reconnaitre un bord rouge. Un clic sur la petite image démontre une version agrandie, dans laquelle l'extrait en détail marqué en rouge est visible.
En résumé, on peut dire que la qualité d'image de Plustek OpticFilm 120 suffit complètement pour transférer en bonne qualité ses moyens formats au PC. Celui qui a des exigences plus élevées sur l'affichage de couleurs, il devra acquérir l'un des scanners moyen format coûteux Nikon Super Coolscan 9000ED ou Hasselblad Flextight X1. Mais, ces appareils jouent dans une autre catégorie de qualité et de prix.
Qualité d'image des diapos Kodachrome
Plustek OpticFilm 120 est en fait un scanner moyen format pour la numérisation en haute qualité et en haute résolution des films moyen format. Naturellement, Plustek OpticFilm 120 peut traiter les films 35mm comme tout autre scanner moyen format. Un genre spécial des films de 35mm sont les films kodachrome, qui exigent le maximum d'un scanner. Les diapos Kodachrome représentent un challenge pour chaque scanner de film. La partie argentée du film veille à rendre impossible l'utilisation de la correction de poussière et d'égratignure. On a numérisé une diapo Kodachrome respectivement avec Nikon 9000 et Plustek OpticFilm 120. La correction de poussière et d'égratignure qui présente la difficulté pour numériser les diapos Kodachrome, a été activée chez les deux scans.
Les deux scans ont été exécutés avec 4000 dpi pour ne pas remarquer aucune différence de résolution et pour pouvoir comparer directement les images. Pour bien reconnaitre la différence, on a édifié les deux scans en détail de 100%. On peut reconnaitre immédiatement que Plustek OpticFilm 120 montre des limites dans la numérisation des diapos Kodachrome. En premier, on observe clairement que le scan avec Nikon Super Coolscan 9000 ne contient plus de particules de poussière et on peut même déchiffrer l'écriture sur la grue. Le scan avec Plustek OpticFilm 120 pert ces détails. Il est clairement perceptible, que le scan de Plustek OpticFilm 120 paraît nettement que celui de Nikon.
Si on observe de près le scan en détail avec Plustek OpticFilm 120, on reconnait exactement la formation d'une bordure dans l'image. Les particules de poussière sur le film ont l'air dans le scan comme des gouttes d'eau tombant sur l'image. Par la surface en relief des diapos Kodachrome, le focus donne l'air de ne pas avoir fonctionné, comme si des erreurs reconnues se situent au-dessous de l'image correspondante.
Pour les photographes Kodachrome, Nikon Super Coolscan 9000 est et reste le numéro 1 incontesté des scanners de film. Car les défaut de qualité de Plustek sont inacceptables dans un tel film aussi délicat. Mais, Plustek OpticFilm 120 n'a pas été construit pour numériser les diapos Kodachrome de 35mm, mais les moyens formats dans plusieurs dimensions.
La vitesse de scan de Plustek OpticFilm 120
Une question très importante pour juger un scanner de film est sa vitesse de scan. Celui qui veut numériser occasionnellement l'une ou l'autre diapo, la vitesse ne lui sera pas un critère cruciale, contrairement à celui qui veut archiver une grande quantité d'images numériques ou utiliser professionnellement un scanner de film.
Dans le tableau suivant, on a mesuré et listé temporellement plusieurs processus lors de la numérisation avec Plustek OpticFilm 120. La durée de numérisation sans iSRD c.à.d. sans correction de poussière et d'égratignure automatique a un intérêt académique, car on ne peut jamais renonncer à cette fonction (au moins avec les images colorées). Les temps dans la colonne durée avec iSRD correspondent plutôt aux valeurs réelles. Car Plustek OpticFilm 120 atteint sa vraie puissance et son étendue de densité évoquée qu'avec Multi-Exposure en mode activé, les temps de numérisation de la dernière colonne constituent celles, qui peuvent se reproduire dans la pratique.
Les temps de scan indiqués dans le tableau ont été obtenus d'un PC avec un processeur Intel Core i7 et une mémoire de 8 GB. La mesure des scans moyen format est faite avec une résolution élevée et une correction de poussière et d'égratignure. La fonction Multi-Exposure n'a pas été possible, car le logiciel s'est planté ou n'a jamais obtenu de résultat. C'est pourquoi, les données tabellaires n'ont pu être atteintes qu'approximativement. Éventuellement, notre mémoire de 8GB n'a pas été suffisante pour accomplir le calcul sophistiqué.
Processus |
sans iSRD |
avec iSRD |
iSRD + Multi-Exposure |
Aperçu 35mm |
22 s |
1:28 min |
- |
Scan 35mm avec 5300 ppi |
1:41 min |
6:38 min |
9:24 min |
Scan 35mm avec 10600 ppi |
3:24 min |
19:05 min |
27:15 min |
Aperçu 6x7cm |
42 s |
2:46 min |
- |
Scan 6x7cm avec 2650 ppi |
2:58 min |
13:52 min |
26:57 min |
Scan 6x7cm avec 5300 ppi |
29:21 min |
1h 16 min |
1h 45 min 1) |
Scan 6x7cm avec 10600 ppi |
3h 16 min |
4h 24 min |
6 h 1) |
Scan 6x12cm avec 2650 ppi |
4:11 min |
20:13 min |
26:35 min |
Scan 6x12cm avec 5300 ppi |
56:20 min |
4 h 21 min |
6 h 1) |
1) Approximative car la mesure avec notre PC (Intel Core i7, mémoire de 8 GB) n'était pas possible
Les temps de scan des positifs et des négatifs ne se différencient pas, c'est pourquoi on ne les représente pas séparément. Les autres scanners présentent des temps de scan plus lentes avec les négatifs qu'avec les positifs. Si on veut numériser ses diapos de 35mm encadrées avec une résolution optique de 5300 dpi et une correction de poussière et d'égratignure ainsi qu'une fonction Multi-Exposure activée, on ne réussit que 6 images par heure dans un temps de 10 minutes par scan. Car on ne peut insérer que 5 diapos dans le support des diapos de 35mm encadrées, qui peuvent être numérisées en pile par le scanner, on peut le laisser seul une demi-heure pour achever quelque chose d'autre. Ce fait est encore meilleur lors de la numérisation des pellicules négatives: On peut ici insérer 12 images dans le support film; le scanner numérise 12 images en mode pile et il aura besoin de 2 heures de temps.
Pendant qu'on peut s'arranger avec un temps de scan de 10 minutes par image, une durée de scan de demi-heure pour les films de 35mm avec une résolution interpolée de 10600 dpi n'est pas acceptable.
Lors de la numérisation des moyens formats, pour lesquels Plustek OpticFilm 120 est pricipalement conçuu, les temps de scan s'éternisent vraiment. Selon les dimensions du film, les temps de scan se situent entre 1-4 heures avec une résolution nominale de 5300 dpi et une correction de poussière et d'égratignure activée. Si on numérise avec la résolution interpolée de 10600 dpi, les temps de scan seront astronomiques. Le performance de calcul nécessaire pour numériser des moyens formats avec une résolution élevée, une correction de poussière et d'égratignure automatique et Multi-Exposure est immense, qu'on ne peut pas penser à accomplir une autre tâche avec le même PC. Le PC aura besoin de chaque processeur pour effectuer les calculs sophistiqués.
Celui qui veut numériser des moyens formats avec Plustek OpticFilm 120, il aura besoin d'un PC performant avec beaucoup de mémoire. Avec notre processeur Intel Core i7 et une mémoire de 8 GB, on a su ses limites rapidement. On résume:
Plustek OpticFilm 120 est un scanner trop lent. Pour numériser des moyens formats en haute qualité, on aura besoin d'un PC performant avec beaucoup de mémoire.
Jetons maintenant un coup d'œil sur les modèles concurrents: En ce qui concerne Nikon Super Coolscan 9000 ED, on a mesuré en 2003 un temps de scan de 5 minutes lors de notre bulletin test d'une diapo 6x7 avec une résolution de 4000 dpi et une correction de poussière et d'égratignure activée. Ainsi, Nikon 9000 bat Plustek OpticFilm 120 avec un facteur de 10-20. Incroyable ce que Nikon accompli depuis 10 ans sur le marché. Avec Reflecta MF 5000, on a mesuré que 4 minuts pour une diapo 6x6 avec une correction de poussière et d'égratignure activée. Ainsi, même MF-5000 bat Plustek OpticFilm 120 avec un facteur temporel de 10, tandis qu'on doit remarquer, que MF-5000 numérise avec une résolution plus faible de sorte qu'il aura besoin de moins de données d'image.
Résumé, bilan
Avec OpticFilm 120, Plustek a apporté sur le marché un scanner de film pour numériser en bonne qualité les films moyen format et ceux de 35mm. Grâce au logiciel de scan professionnel SilverFast Ai Studio, on obtient une qualité d'image suffisante pour toutes les applications et on peut se réjouir avec Multi-Exposure de bons détails dans les profondeurs et dans les expositions.
Moin réjouissante est la vitesse de scan: Plustek OpticFilm 120 est un scanner extrêmement lent. Pour la numérisation occasionnelle de quelques photos, les temps de scan sont absolument acceptables; pour les professionnaux ou ceux qui veulent numériser un archive complet, les temps de scan sont ingérables. Le déficit de la vitesse de scan sera atténué avec la possibilité automatique d'effectuer des scans par lots: On peut numériser par lots plusieurs photos de 35mm ou des moyens formats.
Un grand déficit de Plustek OpticFilm 120 est l'abscence d'autofocus, de sorte qu'on doit toujours s'attendre à des scans flous. Plustek a besoin ici des retouches considérables.
Plustek OpticFilm 120 n'a pas une grande concurrence dans le marché des scanners de film: Les scanners rapides comme Nikon Super Coolscan 9000ED ou Hasselblad Flextight X1/X5 jouent dans toute une autre catégorie de prix et de qualité. Reflecta MF5000 est de bon marché, plus rapide que Plustek OpticFilm 120 et fournit une qualité d'image similaire même si cela s'effectue avec une résolution faible. Les scanners à plat comme Epson Perfection V750Pro n'atteignent pas la qualité d'image de Plustek.
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