Bulletin de test Plustek Filmscanner OpticFilm 8200i
En février 2012, Plustek OpticFilm 8200i apparaissait sur le marché comme successeur de l'ancien Plustek OpticFilm 7600i, déjà agé de deux ans et demi. OpticFilm 7600i était le 3ème appareil de la 7ème série, qui débutait avec OpticFilm 7200i, se développait avec OpticFilm 7500i et se concluait avec OpticFilm 7600i. Cette série Plustek finissait avec la prise de relève de Plustek OpticFilm 7600i avec le nouveau OpticFilm 8200i et on pouvait déjà supposer que la 8ème série Plustek représentera toute une nouvelle génération de scanners de film.
Dans notre boutique de scanners de film ses accessoires sont disponibles.
Le changement de modèle de Plustek OpticFilm 7500i vers OpticFilm 7600i apportait quelques modifications significatives sur le matériel, le nouveau OpticFilm 8200i se diffère par le logiciel de scan de son prédécesseur. Pendant que les scanners Plustek de la 7ème série étaient livrés avec l'ancien logiciel SilverFast dans la version 6.x, le volume de livraison des scanners de la 8ème série contenait le nouveau logiciel SilverFast dans la version 8. Cette version de Lasersoft Imaging a donné également son nom à la nouvelle série de Plustek.
Selon les informations de Plustek, le nouveau OpticFilm 8200i se diffère de son prédécesseur OpticFilm 7600i seulement par le logiciel, de sorte que le hardware restait identique.
On aura cette impression immédiatement, lorsqu'on dépose les deux appareils côte à côte. Toutefois, ce qui nous interesse vraiement reste le fait, si le nouveau logiciel de scan réalise des améliorations de qualité ou de vitesse, car l'ancien OpticFilm 7600i ne se distinguait pas par sa qualité d'image et il était un scanner de film très lent. Notre bulletin de test suivant démontrera l'influence du nouveau logiciel de scan SilverFast sur l'appareil et même sur la numérisation. Pour juger la répercussion du nouveau logiciel, on essaye de faire une comparaison directe avec le modèle prédécesseur Plustek OpticFilm 7600i.
Equipements, accessoires et caractéristiques du scanner de film
On doit noter en premier, que le Plustek OpticFilm 8200i exactement comme son prédécesseur est disponible en deux variations: La première variation OpticFilm 8200i SE contient dans le volume de livraison le logiciel SilverFast SE Plus, pendant que la seconde d'OpticFilm 8200i AI le logiciel SilverFast Ai Studio. Chez cette dernière, il s'agit de la version complète professionnelle du logiciel de scan de Lasersoft Imaging, qui permet l'étalonnage des couleurs avec l'aide de la cible IT-8; chez la première par contre, il s'agit d'une version réduite SilverFast pour débutants. La boîte compacte, dans laquelle le Plustek OpticFilm 8200i sera livré, contient toutes les accessoires nécessaires pour démarrer directement avec la numérisation. A l'exception des logiciels, le volume de livraison du 8200i ne se diffère pas de celui de son prédécesseur.
On trouvera ainsi à côté du scanner un support de film correspondant pour chaque bande de film avec une longueur de plus de six images et pour plus de quatre diapos encadrées. Un bloc d'alimentation, un câble USB et même une sacoche inutile sont également disponibles. Côté logiciels, le scanner Plustek comprend NewSofts Presto! PageManager, le programme spartiate QuickScan ainsi que le logiciel de scan professionnel SilverFast SE Plus 8 (OpticFilm 8200i SE) ou bien SilverFast Ai Studio 8 (OpticFilm 8200i Ai). Le Plustek OpticFilm 8200i Ai sera en plus livré avec une diapo d'étalonnage IT-8, avec laquelle on peut exploiter la fonction d'étalonnage implémentée dans SilverFast Ai.
Côté matériels, rien n'a été changé vis à vis du modèle précédent: Le capteur d'OpticFilm 8200i offre une résolution maximale de 7200 ppi. Cela s'entend très bien, mais par calcul il en résulte d'un scan de 35mm un fichier d'image de 70 millions de pixels. Cela engendre avec une intensité de couleur de 24 Bit, un fichier non comprimé de 210 Mo. Un tel scan avec une intensité de couleur de 48 bit, fournit un fichier d'image de 420 Mo. Celui qui s'est un peu occupé de la thématique de scanners de film, il sait exactement que les deux résolutions, celle évoquée par le fabricant et celle effective, sont différentes. Comment elle se comporte chez OpticFilm 8200i, on le démontrera en dessous au fil du chapitre qualité d'image.
La source lumineuse infrarouge intégrée permet une numérisation avec la correction d'égratignures et de poussière basée sur le matériel iSRD. Non seulement avec la version SE-Plus- mais aussi avec Ai, on peut numériser les présentations même avec le processus MultiExposure, avec lequel on peut augmenter la plage dynamique, de sorte que la diapo ou la négative seront explorées avec deux différentes expositions pour être finalement calculées à une image.
Puisque rien n'a changé du côté matériel, les éléments de réglages correspondent à ceux d'OpticFilm 7600i: Il y a un bouton d'allumage avec un indicateur LED vert correspondant ainsi que les touches IntelliScan et QuickScan. L'appui sur la touche IntelliScan démarre le logiciel SilverFast, pendant qu'on démarre également le logiciel Plustek avec la touche QuickScan, qui se dépose après son installation dans la barre des tâches. Cette démarche est déjà connue des modèles précédents.
Installation et mise en service de Plustek OpticFilm 8200i
L'installation du logiciel est rapide et simple. Dans la pochette, on trouve deux CD: Un CD avec le driver et le logiciel Presto!-Tools et l'autre avec le logiciel SilverFast. Pour plus d'information, consultez au dessous le chapitre logiciels.
Différement de la plupart des appareils, on doit tout d'abord brancher l'appareil à l'ordinateur pour installer Plustek OpticFilm 8200 et puis le logiciel. Si on a déjà alimenté l'appareil avec du courant et on l'a connecté par USB avec l'ordinateur, le système d'exploitation reconnaîtera automatiquement le nouvel appareil dès qu'on allume l'appareil, ce qui engendra le démarrage de l'assistant ajout de matériel. Maintenant, on n'aura besoin que de suivre les instructions sur l'écran, au cours desquelles on sera appelé à insérer le CD driver. Après un instant, le scanner sera prêt à l'usage.
Après avoir conclu cette démarche, on installe automatiquement le logiciel SilverFast. En fin, on donnera le numéro de série imprimé sur la pochette CD pour commencer la numérisation.
Un coup d'oeil sur le manuel livré nous laisse en premier se réjouir, sur le fait d'avoir un bon mode d'emploi. Cette impression disparait dès son ouverture, car il s'agit seulement d'une installation de service courte en 13 langues différentes. Au moins, Quick Guide aide pour accomplir l'installation, au cas où on se pose des questions. Un manuel détaillé se trouve comme un fichier PDF sur le CD. Malheureusement, ceci s'occupe principalement avec le logiciel QuickScan. Il n'y a pas une instruction nécessaire sur SilverFast. Une solution recommandée offre le livre spécialisé SilverFast - le livre officiel.
Numérisation des diapos encadrées de 35mm avec OpticFilm 8200i
Le support diapo de Plustek OpticFilm 8200i est une ancienne connaissance des modèles précédents: Il comprend jusqu'à 4 diapos encadrées de 35mm et il les fixera dans la bonne position avec des ressorts sous le couvercle. Le couvercle donne aux diapos un support supplémentaire mais il réduit l'épaisseur des cadres à 3mm. On ne peut pas utiliser des cadres de diapo plus épais.
Respectivement sur les côtés gauches des 4 fentes, on trouve une ressort, qui doit être compressée pour insérer une diapo, tant dis qu'on trouve une rainure sur les côtés droits, de sorte qu'on puisse intervenir avec les doigts. La mise en place d'une diapo dans le support de cache s'organise difficilement, car on doit simultanément insérer la diapo et comprimer le ressort. Si on glisse, on fait mouche c.à.d. on court le risque de faire sortir le film de son cache. Spécialement lors des premiers essais avec le support film, on doit absolument porter des gants en coton pour éviter d'endommager la surface de film. Après avoir mis en place les premières diapos, le chargement du support film sera de plus en plus facile.
L'insertion des caches en plastiques se révéle peu problèmatique, on doit toutefois faire attention en cas de cadres en carton: Car on doit surmonter la tension du ressort lors du positionnement de la diapo et la mise en œuvre d'une force excessive pourrait faire plier le cadre en carton. Chez les diapos avec des caches en verre plus épaisses, les fixations supplèmentaires céderont certainement, mais le ressort se laisse extrêmement comprimer de sorte que ces diapos peuvent être insérées dans le support film. Même si cette mesure coercitive n'est pas avantageuses pour les ressorts.
Comme on a la possibilité d'utiliser le logiciel livrée SilverFast pour obtenir de bonnes images, nous voulons ici aborder brièvement la thématique de la numérisation avec QuickScan de Plustek: Un double clic sur l'îcône de la barre de système permet d'ouvrir la fenêtre de dialogue et de régler les paramètres nécessaires pour le scan p.ex. le type de présentation (postive ou négative), résolution et filtre. Même le lieu d'enregistrement ou le programme, dans lequel les images scannées seront ouvertes et on peut directement préfixer, si un scan d'aperçu ou un scan fein sera exécuté. Si on déjà prédéfini tous les réglages, on peut fermer la boîte de dialogue. Pour numériser, on n'aura qu'à appuyer sur la touche QuickScan.
Le logiciel Silverfast version 8 livré avec Plustek OpticFilm 8200i offre ici comme un outil professionnel plusieurs réglages et offre même un meilleur scan. La démarche de numérisation avec la nouvelle version du logiciel ne s'est pas modifiée: édifier un préscan, effectuer des réglages et démarrer un scan fein; entrer exactement en détail dans les fonctionnalités offertes par SilverFast, il nous sortirait du cadre de test de scanner. Mais on peut dire seulement que ce logiciel offre non seulement pour les débutants la possiblité d'atteindre de bons résultats après une mise en pratique, mais aussi pour les professionnels afin de perfectionner leurs scans. D'autres informations détaillées sur SilverFast se trouvent sur notre page web SilverFast.
Celui qui a déjà travaillé avec un scanner avec des supports film, connaît la commande d'OpticFilm 8200i: Les diapos ne seront pas directement insérer dans l'appareil, mais équiperont en premier le support. Ce dernier sera introduit latéralement dans l'appareil. Le côté d'insertion est égale, car le scanner ne dispose pas d'un transport automatique, comme on pourrait le prévoir pour un support de film. On introduit le support dans la position souhaitée à l'aide d'encoches d'arrêt, qui encliqueteront le support avec plus de 4 diapos dans la position correspondante, afin d'être déplacé manuellement d'une position après chaque scan. Un transport de film automatique n'a même pas été conçu de Plustek dans la 8000ème série. Cela serait certes une nouveauté, mais également le nouveau OpticFilm 8200i nécessite un travail manuel.
Pour épargner du temps lors de la numérisation des diapos encadrées, il serait mieux d'acheter déjà un deuxième support de diapo Plustek, de sorte qu'on puisse le charger, pendant que le premier se trouve dans le scanner. En plus, on aura immédiatement à disposition une pièce de rechange, dans le cas où un ressort craque.
Il vaut même pour le Plustek OpticFilm 8200i: La numérisation des diapos encadrées reste toujours compliquée et à facteur travail élevé. L'insertion de 4 diapos encadrées dans le support prend du temps et n'a aucun avantage vis à vis des scanners, dans lequels on ne peut introduire qu'une seule diapo.
Numérisation des bandes de film de 35mm avec OpticFilm 8200i
Même le support pellicule d'OpticFilm 8200i est identique avec le modèle prédécesseur: Il comporte des pellicules de 35mm avec une longueur de plus de six images. Celles-ci peuvent être continues ou discontinues sur plusieurs films courts. Les traverses sur le haut et le bas du support aident à maintenir le film plan. Lors de l'introduction, on doit faire attention à ce que les traverses du support coincident avec celles des images et se trouvent ainsi entre chaque image de la pellicule. Ceci peut être compliqué en cas de plusieurs pellicules courtes et roulées. C'est pourquoi il est mieux d'abandonner l'insertion de telles pellicules et de les numériser séparément une après l'autre.
Le support pellicule ne se laisse pas ouvrir complètement à 180° mais jusqu'à 110° et la partie supérieure est inclinée. On doit faire attention à ne pas rompre par erreur le clapet. En plus, il nous dérange lors de l'insertion du matériel film. On souhaite depuis longtemps une meilleure solution, mais Plustek ne développe malheureusement pas ses supports film depuis des générations, de manière à ce que ce déficit reste disponible même dans les 8000ème séries.
Comme il est déjà indiqué, on n'aura aucun problème avec l'insertion des pellicules longues et planes dans le support. Les problèmes apparaîssent seulement avec des bandes bombées et roulées, car le support ne dispose d'aucun mécanisme de tension ou de fixation. Pendant qu'on introduit simplement les pellicules en vrac planes, on aligne les traverses d'image et on ferme le support, il serait très agaçant d'aligner les bandes roulées et de les fixer en même temps avec l'autre main lors de la fermeture. L'insertion de plusieurs bandes courtes et roulées ne doit être effectuée que de la part de quelqu'un avec des nerfs à fleur de peau.
Lors du travail avec des pellicules, on doit absolument porter des gants en coton ou bien des gants antistatiques. A mains nues, il est impossible d'insérer et de positionner exactement des pellicules dans le support sans saisir la surface de film avec les doigts. Avec des gants feins, on peut toucher confortablement les pellicules sans ruiner le film. Pour enlever la pellicule du support, on recommande une pincette avec des extrémités plates pour éviter d'égratigner le film.
Il s'applique également lors de la numérisation des pellicules: Un deuxième support de film facilite le travail, car on peut le charger pendant que le premier accompli son service. En plus, le clapet rabattable n'est pas le plus stabil, de manière à ce qu'on a déjà une pièce de rechange appropriée.
La numérisation des négatives fonctionne exactement comme celle des diapos encadrées: On introduit manuellement le support de film chargé image par image dans le scanner. Même la numérsation des pellicules reste une occasion assez compliquée avec le Plustek OpticFilm 8200i. Celui qui a plusieurs pellicules normales, serait bien équipé avec les modèles à insertion automatique et traitement à lots, p.ex. avec Reflecta RPS 7200 Professional. Celui qui a contrairement des pellicules courtes avec des images en vrac, s'en sortira bien avec un tel support de film, même si l'insertion reste un petit peu délicate.
Le logiciel livré de Plustek OpticFilm 8200i
L'équipement logiciel de Plustek OpticFilm 8200i s'est réduit par rapport au modèle prédécesseur: OpticFilm 7600i comprenait un kit outils complet de NewSoft, le 8200ème ne contient que Presto! PageManager à côté de SilverFast et QuickScan.
Il s'agit ici d'un programme simple de traitement d'image, avec lequel on peut non seulement numériser mais aussi identifier des textes. Presto! ImageFolio et Presto! ImageExplorer ne sont pas compris dans le CD.
On peut certes s'en passer de ces outils, mais le plus important est le logiciel de scan et la livraison de SilverFast 8 avec Plustek est la meilleure sur le marché. Le logiciel QuickScan s'approprie seulement pour la numérisation rapide et simple, mais il n'offre aucune possibilité de réglage. Celui qui veut numériser sérieusement, il doit utiliser SilverFast. Même dans ce cas, on peut édifier rapidement et simplement des scans, cependant avec plusieurs fonctionnalités, qui améliorent le résultat et la qualité des images.
Selon le kit des équipements, on obtient la version SilverFast SE Plus 8 ou SilverFast Ai Studio 8. Ce dernier comporte un étalonnage IT-8, qui garantie une conversion fidèle aux diapos originales. Plus d'informations sur SilverFast et ces différentes versions se trouvent sur notre page web SilverFast.
Celui qui est confronté à la décision d'acheter Plustek OpticFilm 8200i dans la version SE ou dans la version Ai Studio, on lui représente ici les différences essentielles: La version SilverFast Ai Studio a un plus grand étendu de fonctionnalité que la version SE Plus, à partir de laquelle on peut exécuter plusieurs réglages de couleurs ou utiliser des filtres pour tirer le meilleur résultat du film. En plus, on peut réaliser un étalonnage couleurs IT-8 avec la version Ai Studio, de sorte que les scans auront des vraies couleurs. Pour l'étalonnage couleurs IT-8, on aura besoin d'une cible IT-8 de 35mm, qui est disponibles pour les films Kodak-, Fuji- et Kodachrome.
En tout, Plustek 8200i arrive avec un kit de logiciels suffisant. SilverFast Ai Studio est le logiciel de scan le plus actuel et même le PageManager est utilisable. Celui qui voudrait ultérieurement traiter ou optimiser ses scans, aura besoin d'un programme de traitement d'image supplémentaire. Appropriés pour cela sont p.ex. Adobe® Photoshop® Elements à partir de la version 8 (les versions actuelles ne se différent que marginalement) ou le logiciel gratuit Gimp.
Qualité d'image de Plustek OpticFilm 8200i
Car le Plustek OpticFilm 8200i ne se différe pas de son prédécesseur du côté hardware, il nous interesse naturellement de savoir, à quel point la qualité d'image a changé avec le nouveau logiciel SilverFast 8.
Comme prévu, la résolution effective n'a pas changé: Elle s'élève toujours à 3250 ppi. A ce point, on n'entrera pas en détail, mais on vous référe sur notre bulletin de test Plustek OpticFilm 7600i. On peut dire seulement qu'avec cette résolution effective, OpticFilm ne fournit que plus de 50% de la résolution nominale évoquée du fabricant. 3250 ppi représente toutefois une valeur acceptable: Les tirages de photos avec une grandeur DIN A4 (21 x 29,7 cm) se réalisent avec une bonne qualité.
La résolution nominale élevée a naturellement comme chez le prédécesseur le désavantage, qu'on est obligé à numériser avec 7200 dpi pour obtenir les 3250 dpi effectifs. Ceci engendre des temps de scan très lents et des fichiers d'image gonflés, qui doivent être traités/comprimés ultérieurement. Un scan avec 7200 dpi fournit un fichier d'image avec 210 Mo, mais effectivement il ne contient que 42 Mo; les 170 Mo restantes contiennent des pixels doubles et doivent être éliminés après la numérisation avec un programme de traitement d'image.
Car la résolution ne représente pas le critère essentiel unique pour juger la qualité d'image, nous examinerons l'étendu de densité du scanner. Pour cela, on utiliserons un scan exemplaire d'un motif contrasté, qu'on a déjà utilisé lors des tests précédents.
Cette diapo a été effectuée non seulement avec Plustek OpticFilm 8200i mais aussi avec Reflecta ProScan 7200, afin de vous permettre une comparaison des deux scanners concurrents. Nous avons même numérisé la diapo avec le scanner professionnel Nikon Super Coolscan 5000 ED pour voir comment se battent les deux scanners de bon marché avec le top-modèle.
Regardons-nous l'extrait d'image marqué en rouge dans la partie inférieure sombre de la diapo: Comme on peut le bien voir, Plustek OpticFilm 8200i et reflecta ProScan 7200 ne se rapprochent pas des dessins sombres fournis par le scanner Nikon. En plus, on peut clairement reconnaître, que le ProScan 7200 fournit plus de dessins dans les parties noires de l'image que l'OpticFilm 8200i. Ce dernier représente ainsi la laterne rouge de cette discipline, car on ne peut presque pas deviner qu'il s'agit d'une clôture de jardin dans le bord inférieur de l'image. Cliquez sur la vignette pour ouvrir la fenêtre d'image, dans laquelle l'extrait présenté commute toutes les trois secondes entre les scans des trois appareils.
Même si on examine les parties les plus claires du sommet de la montagne, on constate que le Plustek OpticFilm 8200i ne fournit pas de dessins suffisants pour reproduire les détails de la paroi rocheuse. Les grandes surfaces s'estompent dans une bouillie blanche/grise unitaire.
Un autre aspect important en ce qui concerne la qualité d'image est la correction de poussière et d'égratignure. Elle a été inutile chez les scanners OpticFilm de la génération précédant le 7600i, mais ceci a changé avec la dernière génération. Examinons ainsi le fait, si ceci a changé avec le 8200i.
Pour cela, on numérise une diapo test extrêmement sale avec les trois appareils évoqués au dessus. La hiérarchie reste la même: Les meilleurs résultats fournit carrément Nikon Super Coolscan 5000 ED et on ne visualise aucun grain de poussière. La correction de poussière et d'égratignure de reflecta ProScan 7200 accompli même un bon service et laisse seulement l'une ou l'autre tache intacte ou bien il produit des artefacts. Lors de la numérisation avec Plustek OpticFilm 8200i, on reconnait encore des plusieurs grains de poussière, qui n'ont été pas éliminés complètement. Dans ce cas, le nouveau logiciel SilverFast 8 n'apporte aucune amélioration lors du traitement des données du scan infrarouge.
Bilan: La qualité d'image de Plustek OpticFilm 8200i n'a pas changé par rapport au modèle précédent. Elle est certes acceptable, mais elle laisse toujours à désirer.
Une amélioration réelle de la qualité d'image vis à vis d'OpticFilm 7600i ne pourrait être attendu, en dépit du fait que le hardware n'a pas changé, mais une nouvelle version du logiciel de scan SilverFast a été seulement annexé. Finalement, les changements dans le logiciel SilverFast se répercutent seulement sur la commande et non pas sur les algorithmes de traitement d'image à l'intérieur du logiciel.
La vitesse de scan de Plustek OpticFilm 8200i
Pour déterminer les temps de scan indiqués dans le tableau suivant, on a branché le scanner par USB 2.0 à un ordinateur avec un processeur Intel Core i3 2.1 GHz et une mémoire de 4GB. Il en résulte les mesures suivantes:
Procédure |
Durée sans iSRD |
Durée avec iSRD |
Durée avec iSRD + MultiExposure |
Aperçu |
0:16 min |
0:16 min |
0:16 min |
Scan de 35mm avec une résolution de 2400 ppi |
0:36 min |
1:22 min |
3:02 min |
Scan de 35mm avec une résolution de 3600 ppi |
1:27 min |
3:06 min |
5:25 min |
Scan de 35mm avec une résolution de 7200 ppi |
3:59 min |
09:16 min |
13:36 min |
Les temps de scan des diapos et négatives ne se différencient pas, c'est pourquoi on ne les prendra pas en compte. Les autres scanners ont dans la régle des temps de scan extrêmement lents pour les négatives et les positives. OpticFilm 8200i est un peu plus lent que son prédécesseur en cas de scans avec une résolution basse, contrairement aux scans avec une résolution élevée, qui seront rapidement achevés. Car on a utilisé pour ce test de vitesse un ordinateur rapide avec un système d'exploitation de 64Bit, il est probable que les temps de scan courts avec 7200ppi sont justifiés à travers le traitement de données rapide du logiciel. Au bout de compte, le nouveau logiciel de scan SilverFast a été optimisé selon le fabricant Lasersoft Imaging pour exploiter les performances de calcul du processeur. Le 8200i n'a cependant pas accompli un miracle de vitesse.
Un scan avec une résolution entière et une fonction iSRD activée dure avec Plustek OpticFilm 8200i et même sur l'ordinateur actuel 10 minutes. Reflecta ProScan 7200 a besoin de seulement 2 minutes pour un scan avec la résolution maximale. En plus, on doit évoqué que la résolution maximale de ProScan ne s'èlève qu'à 3600ppi, le scanner ne fournit ainsi que la même résolution effective de 3250ppi, qu'OpticFilm atteint lorsqu'on numérise avec 7200ppi. Plustek OpticFilm 8200i appartient ainsi aux scanners les plus lents sur le marché.
Bilan: Plustek OpticFilm 8200i a besoin dans le mode Multi-Exposure d'un quart d'heure par scan. Ainsi, l'appareil appartient aux scanners les plus lents sur le marché.
Avec la résolution la plus élevée, on ne réussit que 4 scans par heure avec une fonction d'élimination d'égratignure et de poussière automatique ainsi qu'une Multiexposure activée. En plus, on devra prendre en compte le temps de retouches des scans, qu'on devra les comprimer à une valeur raisonnable. Celui qui a une grande collection de photo à numériser, peut déjà planifier quelques mois ou des années.
Résumé, bilan
Plustek OpticFilm 8200i ne se distingue de son prédécesseur Plustek OpticFilm 7600i qu'avec le nouveau logiciel de scan: Le scanner sera livré avec SilverFast 8. Ainsi, rien n'a changé en ce qui concerne la qualité d'image: Non seulement la résolution mais aussi l'étendu de densité correspondent à ceux d'OpticFilm 7600i. Grâce au nouveau logiciel de scan, la commande devient de plus en plus confortable; SilverFast 8 est devenu extrêmement convivial et plus clair contrairement à la version précédente 6.
Même la performance de la correction d'égratignures et poussière basée sur le matériel ne s'est pas améliorée. Elle ne produit certes aucun défaut d'image, mais les petites et les grandes particules de poussière ne seront pas éliminées. Les autres scanners de la même catégorie de prix fournissent ici des meilleurs résultats.
Avec des temps de scan lents et une commande manuelle sans insertion de pellicules automatique, OpticFilm 8200i reste un scanner, avec lequel on ne peut pas numériser rapidement et confortablement une grande collection de diapos et de négatives. Dans ce cas, on doit avoir beaucoup de patience und on doit être prêt à accepter une intervention manuelle fréquente.
Une meilleure alternative un peu plus chère est le Reflecta ProScan 10T. Le scanner est similairement construit comme le Plustek OpticFilm 8200i, il est considérablement rapide et une meilleure qualité d'imaget. Le prix d'acquisition s'élève à plus de 100 €.
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