Bulletin de test du scanner CMOS Reflecta MemoScan

Après le x-Scan, x²-Scan, x³-Scan et ImageBox, Reflecta apporte en octobre 2009 sur le marché, le cinquième scanner avec la technologie CMOS qui contrairement aux autres scanners n'explore pas les présentations ligne par ligne mais en utilisant une seule étape. En principe, il s'agit donc d'une meilleure Webcam qui est dirigée vers une source lumineuse DEL, devant laquelle passe la présentation du film - l'ensemble est emballé dans un boîtier plus ou moins élégant. Contrairement aux modèles x-Scan, le MemoScan est maintenant conçu de telle sorte qu'on le pose sur la table, plutôt de le mettre sur le bord de la table.

La grande innovation du MemoScan est ce qu'on appelle la technologie du Magic Touch: Une correction de poussière et d'éraflure basée sur le matériel utilisant la technologie infrarouge. Cela ressemble beaucoup à ICE ou iSRD - nous verrons si Magic Touch peut aussi atteindre de bons résultats similaires à ces grands modèles. Bien sûr, les équipements, la manutention et la qualité d'image seront évoquées dans notre rapport de test. En outre, le logiciel inclus sera examiné de près.

The reflecta MemoScan was taken from the market in February 2014.

Équipement, accessoires et caractéristiques du scanner de film

Le Reflecta MemoScan est livré avec tout ce dont vous avez besoin pour démarrer immédiatement la numérisation - ce qui n'est pas beaucoup (heureusement): Dans la petite boîte dans laquelle le MemoScan est livré, il se trouve respectivement un support de film pour un maximum de quatre petites diapositives encadrées et pour une pellicule de film avec un maximum de longueur de six images. Des instructions de démarrage rapide imprimées dans six langues sont jointes de même qu'un DVD avec le logiciel pilote et un logiciel de retouche d'image Adobe Photoshop^® dans la version obsolète 5. Une alimentation secteur n'est pas nécessaire, le scanner reçoit le besoin en courant opérationnel par le port USB de l'ordinateur auquel il est fermement connecté à l'appareil via le câble installé.

Avec une touche séparée et une DEL bleue placée au dessus de l'appareil, celui-ci ne pose pas d'énigmes chez l'utilisateur: la touche démarre le processus de numérisation et le DEL indique si une connexion existe avec l'ordinateur. La correction de poussière et d'éraflure basée sur le matériel MagicTouch fonctionne comme toutes les techniques de correction qui travaillent avec la lumière infrarouge sans les films traditionnels en noir et blanc. Seuls les films en couleurs ou ceux en noir et blanc qui sont développées par le processus de couleur comme Ilford XP2, peuvent être numérisées avec une correction de poussière et d'éraflure activée.

Comme chez tous les scanners CMOS de Reflecta, le temps de numérisation s'élève selon le fabricant à une seule seconde pour une diapo ou un négatif. De ce fait, cette vitesse est atteinte lorsque le scanner photographie l'ensemble de la présentation d'un seul coup. Même les indications du fabricant de la résolution et de l'étendue de densité ne sont pas différentes des autres appareils utilisant cette technique: L'appareil fonctionne avec une résolution nominale de 1800 dpi et une densité maximale de 3,0 Dmax.

A cet égard, rien n'a changé, et cela reste aussi valable pour le MemoScan que les données techniques ne permettent pas d'attendre des analyses de haute qualité. Si vous scannez une zone d'image réaliste avec la résolution maximale spécifiée optique de 1800dpi, il reste environ 4 mégapixels. La densité maximale de 3,0 Dmax suggère une étendue de densité d'environ 2,5, ce qui est beaucoup trop faible pour obtenir des détails dans les ombres et les lumières.

Des Scans de haute qualité pour les buts d'archivage ou pour les tirages de gros format d'image ne conviennent pas au travail de MemoScan. Si la qualité d'image suffit pour regarder ses images analogiques avec un niveau suffisant sur un ordinateur ou même faire une petite impression de vues, nous le montrerons dans le chapitre sur la qualité d'image.

Installation et mise en service

Comme chez presque tous les périphériques USB, l'installation du MemoScan se déroule selon un schéma standard:

D'abord, nous installons le logiciel. Pour cela on insère le DVD dans le lecteur et déjà démarre le logiciel d'installation. Si aucun programme de travail d'image compatible avec TWAIN n'est encore installé sur l'ordinateur, on choisit ici l'installation d'Adobe Photoshop^® Elément 5. Sinon, vous pouvez renoncer à l'installation de la version malheureusement déjà obsolète et procéder directement à l'installation du logiciel pilote. Cela se fait rapidement et vous pouvez commencer la numérisation ou lire au préalable le guide d'animation qui explique l'installation et le fonctionnement du scanner avec des images simples.

Il n'y a pas d'interrupteur marche/arrêt pour le MemoScan: Une fois qu'il est connecté à l'ordinateur, la loupiote d'alimentation est allumée et il est prêt. Maintenant vous pouvez lancer la numérisation. Lors du démarrage du logiciel de numérisation, le scanner doit être calibré, donc nous devons faire attention à ce qu'aucun film ne se trouve dans le scanner. Ce point est souligné avant le début du calibrage de manière significative.

Numérisation de diapositives encadrées avec le MemoScan Reflecta

Pour la numérisation de diapositives, Reflecta MemoScan est accompagné d'un support de diapositives. Cela peut prendre d'un seul coup jusqu'à quatre petites diapositives d'image encadrées. Le support de diapositive est le même que celui du Reflecta ImageBox, et il ne fonctionne plus avec un mécanisme relevable, contrairement aux supports de film des modèles x-Scan, mais accueille les diapos via une fente ouverte à la face supérieure. Les diapos sont tenues dans cette position avec des ressorts en plastique sur les côtés des fentes. Le support de diapositives fait une impression plus valeureuse que celle de ses trois homologues de la série x-Scan. En raison de sa construction, on n'est pas limité dans l'épaisseur du cadre: Toutes les diapos courantes avec une épaisseur de 3 mm peuvent être facilement insérées.

Comme le MemoScan "se situe" sur la table, et pas "verticalement" comme les modèles d'x-Scan, on introduit verticalement le support de diapositive dans le scanner. Il est indifférent d'insérer le support à gauche ou à droite dans le scanner, il peut être déplacé, poussé et retiré librement dans les deux sens. Le déplacement du support cinématographique dans le scanner ne fonctionne que manuellement - un mode automatique par lot n'est pas possible. Le support est fixé à son revers par des points de grisé dans le scanner de sorte qu'il s'enclenche exactement avec une diapo avant le détecteur. Pour un flux de travail plus pratique, nous recommandons l'achat d'un autre support de diapos, qu'on peut équiper, tandis que l'autre est encore dans le scanner.

Pour numériser, vous cliquez sur le menu-fichier de Photoshop^® Elements 5.0 ou un autre logiciel TWAIN compatible sur l'option Importer, de l'index du menu en sélectionnant ensuite CyberView CS - CS500IR. Le logiciel de numérisation montre immédiatement l'image directe saisie par la caméra - vous pouvez voir comment le support de diapos est déplacé lors de son insertion. Pour les scans de diapos on doit activer le type de film positif au-dessous de l'image de présentation. Un clic sur la touche de scan dans le logiciel ou une pression sur la touche de numérisation sur l'appareil transfère alors l'affichage de l'image représentée en direct dans l'annonce du détecteur en pleine résolution au logiciel de traitement d'image.

Comme nous décrirons la qualité d'image encore en détail dans le chapitre ci-dessous, le scanner dispose certes d'une correction de poussière et d'éraflure basée sur le matériel, mais il convient néanmoins de souligner que nous minimisons la poussière transportée au scanner avant la numérisation en utilisant un jet d'air comprimé pour nettoyer la diapo.

La numérisation de la pellicule de film avec Reflecta MemoScan

Le support de film est le même que celui de Reflecta ImageBox. Il peut accueillir des pellicules d'une longueur pouvant comprendre jusqu'à six photos. Pour cela on ouvre le support, on positionne la pellicule afin que les passerelles d'image coïncident avec les passerelles du support cinématographique puis on le referme de nouveau. Même le support de film laisse une impression plutôt bonne.

Contrairement aux supports de films de la série x-Scan de Reflecta, le support de pellicule de film du MemoScan ne dispose pas des axes de guidage qui saisissent la perforation de la pellicule de film et la fixent juste à sa place. Cela donne un peu de gênes à l'insertion d'une pellicule de film, surtout quand elle est enroulée ou pliée. On doit fixer la pellicule de film n'importe comment en refermant manuellement le support pour qu'elle ne glisse pas. Il faut aussi s'assurer que les âmes du support soient en conformité avec les âmes de la pellicule. C'est bien faisable à peu près avec une bande de film isolée et complètement plate mais cela peut dégénérer avec une pellicule incurvée ou composée de plusieurs morceaux de court métrage. Il est fortement recommandé de porter des gants de coton lors de l'insertion de la pellicule pour pouvoir bien saisir les rubans sans les endommager.

Même lors de la numérisation de pellicules de films, il est recommandable de s'acheter un deuxième support de négatives, de sorte que vous pouvez charger un support de film en faveur d'un débit de travail plus commode, tandis que les images se scannent dans l'autre support de film. La procédure pour la numérisation de pellicules de film n'est pas différente de la numérisation de diapositives encadrées. Si vous souhaitez numériser des négatifs, il vous suffit de choisir le type de film négatif ou bien noir et blanc et on peut regarder même dans l'aperçu l'image positive qui sera transférée au logiciel de traitement d'image en cliquant sur la touche de numérisation.

Le logiciel inclus

L'équipement de logiciel du Reflecta MemoScan se délimite sur un logiciel pilote TWAIN CyberView CS et un logiciel de traitement d'image d'Adobe Photoshop^® Elements dans la version 5 non actuelle. L'interface de CyberView CS est conçue très simplement. Même si vous n'avez jamais utilisé de scanner, ce logiciel ne pose à l'utilisateur aucun problème: Comme on ne peut pas effectuer de réglages sauf le choix du type de film, l'interface du logiciel TWAIN est très claire. L'image d'aperçu en direct du détecteur prend la majeure partie de la fenêtre de programme. A droite de cela, il se laisse indiquer des instructions Quickstart à partir de la touche démo et la version de logiciel s'affiche avec la touche d'info.

Au-dessous de l'image d'aperçu, le type de film peut être réglé: Au choix se trouve le positif, négatif, et noir et blanc. Pour la numérisation des diapositives le choix se porte en conséquence sur le positif. Un clic sur la touche de numérisation à côté de la sélection du type de film crée une image de 1800 dpi saisie par le capteur, qui est ensuite transférée directement au programme de traitement de l'image. La même fonction est remplie également par la touche de numérisation en haut de l'appareil. Si l'on choisit le type de film "noir et blanc" l'instruction de la fonction MagicTouch indique que les films ordinaires en noir et blanc ne peuvent pas être utilisés.

La touche calibrer permet de démarrer manuellement la mise en service automatique du calibrage de la source lumineuse et du capteur; en cliquant sur la touche Exit sur l'extrémité droite, le programme de numérisation s'achève. A gauche du choix du type de film, vous pouvez placer un petit crochet indiquant si l'image doit être ajustée manuellement après la numérisation.

Si cette option est activée, une nouvelle fenêtre s'ouvre après la numérisation dans laquelle l'image scannée peut être adaptée dans la couleur et la luminosité et être tournée ou réfléchie. Le volet supérieur affiche une vue avant et après de l'image, tandis que la partie inférieure peut être réglé en couleur et luminosité sur les petites vignettes d'aperçu. Au dessous sur le côté gauche, se trouvent des boutons pour le pivotement et réflexion de l'image, tandis que les deux boutons sur la droite servent à confirmer ou rejeter le traitement. Un clic sur la touche-confirmer transfère l'image traitée dans le programme de traitement d'image. Avec ce même programme (habituellement avec Photoshop^® Elements), il est recommandé d'effectuer les corrections avec celui-ci car elles se laissent effectuées de manière beaucoup plus précise et affinée. Principalement parce que l'image sera de toute façon chargée directement après la numérisation dans le programme de traitement d'image. Comme il ne s'agit dans le cas de la correction que d'une correction supplémentaire de l'image terminée avec CyberView CS, il n'y a en fait aucune raison d'effectuer celle-ci à partir du logiciel de numérisation.

Adobe Photoshop^® Elements est un logiciel de traitement d'image extrêmement répandu et de haute qualité. Étant donné qu'il s'agit d'une version allégée de la version complète de Photoshop^®, elle offre à l'utilisateur de foyer une fonctionnalité tout à fait satisfaisante. Malheureusement, le logiciel n'est seulement joint que la version 5 non actuelle d'ImageBox. Une mise à jour de Photoshop^® Elements est disponible dans notre boutique en ligne.

La qualité d'image du MemoScan de Reflecta

Nous venons maintenant aux questions qui intéressent l'ensemble d'entre nous: Si la qualité d'image s'est améliorée par rapport aux modèles précédents, et surtout: Qu'apporte la correction de poussière et d'éraflure de MagicTouch? Vous trouvez les réponses dans ce chapitre.

Nous commençons par le test de résolution: Le scan USAF-Testcharts laisse tout justement reconnaître les lignes horizontales et verticales de l'élément 4.6. La résolution efficace accessible du Reflecta MemoScan se trouve à environ 1450ppi comme nous pouvons le voir sur le tableau de résolution de notre site sur la résolution du scanner. La résolution du MemoScan réside donc dans le niveau d'un x-Scan. C'est environ 80% de la résolution nominale de 1800 ppi. Cela fournit lors d'un scan de petite image un fichier image de 3 méga pixels. Ceci est évidemment inférieur à n'importe quelle valeur fournie par un appareil photo numérique courant. Un bon scanner de film peut atteindre 10 à 20 méga pixels dans le petit format. Déjà en raison de la faible résolution, on peut dire que le Reflecta MemoScan n'est pas adapté à l'archivage de diapositives et des négatifs, parce que trop d'informations visuelles contenues dans le film ne sont pas considérées lors la numérisation. Pourquoi se fait-il qu'une puce CMOS qui fournit en pratique 5 millions pixels réels, ne rapporte seulement que 3 millions dans la pratique? Sur la puce CMOS, il y a même 5 millions de diodes photo, qui comprennent chacune un pixel et l'enregistre, mais l'optique située devant la puce n'est pas de si haute qualité afin de résoudre si finement la lumière venant de la pellicule.

Mais nous venons à la pratique de numérisation; les 1450 ppi de résolution effective sont t-ils bons pour la numérisation d'une diapo de petite image? Prenons l'image d'accompagnement ci-contre. Il s'agit de la numérisation d'une petite diapositive encadrée. Nous l'avons numérisée une fois avec le MemoScan et une deuxième fois avec le Crystal Scan 7200, à savoir un vrai "scanner" de film du même fabricant Reflecta: Reflecta CrystalScan 7200 est deux fois plus cher que le MemoScan mais pour 230Euro il se situe dans la gamme de prix la plus basse des véritables scanners de film. Naturellement CrystalScan ne peut pas rivaliser avec les résultats d'un scanner de haut de gamme comme le Nikon Super CoolScan 5000 (Nikon LS-5000) mais celui-ci se trouve dans un segment de prix tout à fait différent.

Nous avons d'abord à comparer la résolution du Reflecta MemoScan avec le Reflecta CrystalScan 7200. Un clic sur l'image miniature ci-contre ouvre une fenêtre présentant en grandeur originale la partie d'image n°1, soit à une échelle de 100%. L'affichage commute alors toutes les trois secondes entre le scan avec MemoScan et le scan avec CrystalScan 7200. Chez CrystalScan nous avons choisi une résolution médiane de 3600ppi (sur 7200 ppi possible). Pour permettre une comparaison directe, nous avons extrapolé la numérisation du MemoScan avec la même résolution. On peut reconnaître distinctement que beaucoup de détails fins se perdent dans l'image avec une petite résolution du MemoScan. Tandis que vous pouvez reconnaître des rameaux et branchettes lors du scan avec CrystalScan 7200, celles-ci s'estompent en grands faisceaux de couleur lors de la numérisation avec MemoScan.

Grâce à cette comparaison, il est clair que le MemoScan avec sa faible résolution ne peut pas obtenir ces informations contenues dans un film. Une petite diapo illuminée avec un bon appareil photo et un bon objectif livre des renseignements d'image véritables d'environ 20 méga pixels. Parmi ceux-ci, le MemoScan ne dégage seulement que 3 méga pixels. Lors d'une analyse avec Reflecta MemoScan on perd tant d'informations précieuses contenues dans l'image du film. Cela confirme la déclaration faite plus haut que le MemoScan n'est pas adapté pour l'archivage permanent de film.

Ensuite, nous nous occupons avec l'étendue de densité. Reflecta indique pour l'ensemble de ses scanners équipés de la technologie CMOS et aussi pour le MemoScan une densité maximale de 3,0; il en résulte une étendue de densité d'environ 2,5. Que signifient les chiffres en détail, vous pouvez consulter notre page web sur le sujet de la densité. Une densité maximale de 3.0 ou une étendue de densité de 2,5 est trop faible pour numériser des images de haute qualité. Les très bons scanners de film ont une étendue de densité de 10 à 100 fois plus grande. Cependant nous regardons le résultat de la numérisation avec le MemoScan en pratique. En cliquant sur la vignette ci-contre pour voir en pleine résolution la partie d'image n°2 avec une représentation à l'échelle 100%. L'affichage change toutes les 3 secondes entre la numérisation avec le scanner MemoScan et celle avec l'ImageBox de Reflecta. Il est frappant que le MemoScan révèle essentiellement plus de détails dans les domaines beaucoup clairs. Le dessin dans l'ombre ne se distingue pratiquement pas de celui des résultats d'ImageBox. Ceci suggère que la densité minimale de MemoScan est plus faible que celle d'Imagebox, de sorte que l'étendue de densité est plus élevée de deux dixièmes environ.

Comparé à ses homologues CMOS tels que l'Imagebox, le MemoScan est avantageux en termes de densité de la gamme. Néanmoins, il reste encore trop petit pour numériser les films dans une très bonne qualité. Les scanners de films de qualité ont une étendue de densité de 10 à 100 fois plus grande. Ceci est également confirmé dans la pratique: Lors de la numérisation des diapositives et des négatifs, vous pouvez sentir la gamme de faible densité de façon significative, mais pas de manière aussi extrême que dans les dispositifs les plus disponibles. Les détails sont à peine reconnaissables dans les secteurs d'image très claires et très sombres, l'image scannée est blanche ou encore simplement noire à certains endroits. Ici, certaines informations de l'image contenues dans le film sont perdues. Les projections ci-contre montrent les parties d'image 2 (petites) et 3 dans une comparaison entre le Reflecta MemoScan et le scanner de film Reflecta CrystalScan 7200: Comme vous pouvez le voir sur la numérisation avec le CrystalScan, il y a beaucoup plus de détails dans les hautes lumières et les ombres. Dans l'analyse avec les CrystalScan 7200, il y a plus de détails sur les pentes des montagnes, de fines structures de pierres et des ombres sur les bords de rochers sont très bien différenciés en couleur. Dans le fragment d'image sombre, le MemoScan livre presque une seule surface sombre où CrystalScan laisse encore différencier des détails fins de l'arbre ou de la clôture de jardin à travers des tons différents de gris foncé.

Un autre problème du MemoScan est aussi très bien reconnu avant tout dans le détail 3: Aux déroulements de couleur et de luminosité se présentent fréquemment des dégradés de couleur très disgracieux et grossiers qui transforment les déroulements des nuances. Les numérisations du CrystalScan ne présentent pas ces dégradés de couleur.

Passons à l'innovation principale du Reflecta MemoScan, basée sur la correction automatique de la poussière et d'éraflure du matériel. Finalement, le MemoScan est le premier scanner CMOS sur le marché qui dispose d'un tel mécanisme de correction. L'absence d'un matériel de correction de poussière et de rayures était un autre facteur qui a contribué à l'absence de qualité d'images, facteur qui a supprimé la différence de classe de bons scanners de film par rapport à toutes les x-Scans et l'imageBox. La technologie de Magic Touch de MemoScan doit porter remède ici. Pour déterminer si c'est effectivement le cas, nous avons numérisé les diapositives présentées dans la figure ci-contre avec et sans Magic Touch. Un clic sur la vignette reproduit ci-dessous ouvre une fenêtre avec l'image montrée en détail qui commute toutes les 2 secondes entre les numérisations suivantes: Numérisation avec MemoScan sans MagicTouch, numérisation avec MemoScan avec Magic Touch et numérisation avec CrystalScan 7200 avec ICE.

Comme on peut reconnaître distinctement, la correction de poussière et d'éraflure automatique livre seulement les résultats insuffisants. Une grande partie des taches de poussière n'est pas reconnue, certaines sont légèrement atténuées, et seulement quelques petites taches ont en réalité disparu. Heureusement, MagicTouch ne cause aucune erreur de détails fins d'image comme c'est souvent le cas des corrections de poussière et d'éraflure basées sur le logiciel. En comparaison, la numérisation avec le CrystalScan à la fonction ICE activée montre une image d'une propreté irréprochable et qui ne laisse pas reconnaître un seul grain de poussière.

Lors de nos tests, nous avons constaté que, selon la diapositive plus ou moins de traces de poussière sont automatiquement détectées et retouchées. Comme la fonction de MagicTouch ne génère pas d'erreurs d'image, on peut le laisser allumer en bonne conscience - avec un peu de chance, on obtient une numérisation avec beaucoup moins de poussières visibles. Les taches de poussière restantes, nécessitent un travail manuel laborieux dans un programme de traitement d'image comme le logiciel Adobe Photoshop^® Elements pour être supprimées. MagicTouch n'obtient pas alors le même effet que les procédés éprouvés par ICE et iSRD.

La vitesse de numérisation de Reflecta MemoScan

Reflecta MemoScan offre une vitesse de numérisation d'une seconde. Cette haute vitesse de numérisation est conditionnée par le système, car seulement une photo est faite et aucun film n'est numérisé ligne par ligne. Si Magic Touch est activé, le temps de balayage se prolonge environ d'une valeur quintuple - mais ce n'est pas mal également avec cinq secondes par balayage.

La création d'une image terminée dure une demi-minute une fois que vous cliquez sur la touche de numérisation en fonction de la performance de l'ordinateur. Les bons scanners de film parviennent également à cette valeur en basse résolution. Comme ces scanners transmettent déjà des données à l'ordinateur pendant le processus de numérisation, le temps n'est pratiquement pas bien délimité. Le Reflecta MemoScan n'est pas très rapide, vous ne devriez pas être dupe des données en secondes.

Résumé, conclusion

Le MemoScan se joint à une longue liste de scanners du fabricant Reflecta CMOS. Malgré la nouvelle et prometteuse technologie du Magic Touch, le MemoScan ne se démarque malheureusement pas de ses collègues. Il fonctionne mal et Reflecta MemoScan ne peut assurer le remplacement d'un bon scanner de Film. Heureusement, l'étendue de densité a quelque peu augmenté. Néanmoins, il est aussi le cas du dernier membre de la famille des scanners CMOS, qui ne convient pas à la numérisation des images, aux tirages photo ou d'archivage de haute qualité.

Par conséquent, l'appareil est très facile à utiliser: Même les utilisateurs inexpérimentés ne peuvent pas se tromper du tout lors de la numérisation avec le MemoScan. Un gros avantage est le prix bas qui fait recommander le scanner à ceux qui voudraient numériser leurs diapositives ou négatifs pour les afficher rapidement sur un ordinateur ou pour les envoyer par e-mail à ses amis sans demander des exigences élevées sur la qualité de l'image.

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