Bulletin de test du scanner de film Plustek OpticFilm 7400
Deux ans après la comparution du Plustek OpticFilm 7300, son successeur OpticFilm 7400 venait en août 2009 sur le marché. Selon le fabricant, le scanner s'adresse surtout à des photographes amateurs ambitieux. Une certaine qualité d'images devrait être attendue. Après les mauvais résultats du prédécesseur, nous sommes maintenant curieux de savoir comment l'OpticFilm 7400 se bat.
Le DEL de conception nouvelle et les caractéristiques comme MultiExposure et MultiSampling, qui sont possibles grâce au logiciel de scan SilverFast SE Plus contenu dans le volume de la livraison, laissent espérer. Toutefois, l'OpticFilm 7300 offrait déjà ces fonctions. Si quelque chose s'est changé vis-à-vis au prédécesseur à côté de la couleur de boîtiers - le scanner vient dans un bleu foncé chic, on le démontrera à partir de ce bulletin d'essai. Les données techniques et l'équipement ne sont pas en tout cas différents.
Equipement, accessoires et caractéristiques du scanner de film
Plustek OpticFilm 7400 est différent externement du Plustek OpticFilm 7300 à travers une autre couleur de boîtier et une fenêtre d'examination manquante sur le côté supérieur du scanner pour les diapos du modèle précédent et aussi l'équipement correspond sans exception à celui du Plustek OpticFilm 7300.
Lors de l'achat du scanner, vous recevez un paquet complet, deux supports de film de (respectivement pour des diapos encadrées et pour des bandes de film), bloc d'alimentation, câble USB, une saccoche inutile ainsi qu'un paquet de logiciel comportant l'excellent logiciel de scan SilverFast SE Plus, QuickScan, ImageFolio.
Le fabricant indique une résolution optique sensationnelle de 7200 dpi pour le scanner de film. Avec une diapo de 35mm ou de négatif, on produit un fichier d'images avec la résolution la plus haute de 70 mégapixels. Un Scan avec 7200 dpi livre un fichier d'environ 210 Mo dans le format TIF non comprimé. Si on régle la profondeur de couleur sur 48 bits, ainsi cette quantité de données se dédouble même sur environ 420 mégaoctets! Pour utiliser de tels fichiers, on a énormément besoin d'un ordinateur avec une mémoire principale élevée. S'il fait du sens de produire un fichier de telle grandeur à partir d'un format de 35mm, il soit en suspens.
Comme son prédécesseur, le Plustek OpticFilm 7400 n'offre malheureusement pas de processus de correction de poussière et d'éraflure basé sur le matériel. Cela semble comme l'une des "fonctions high-End les plus inutiles" de cet appareil, auxquelles le fabricant a renoncé selon de propres indications. Je considère toutefois cela comme un grand manque, car cette fonction est actuellement standard chez les scanners de film; il n'y a que quelques modèles de bon marché qui n'ont pas de correction de poussière basée sur le matériel automatique. La correction de poussière et d'éraflure automatique n'est pas absolument nécessaire pour la numérisation des diapos et négatives, mais la perte de qualité en face d'un scanner avec la fonction ICE est déjà considérable. Pour apporter une comparaison du quotidien, lors de l'achat d'une petite voiture de 15.000€, on n'a pas absolument besoin d'un climatiseur mais cet équipement presque standard est indispensable chez la plupart des automobilistes.
Dans la fiche des données du scanner, le fabricant donne d'ailleurs une résolution maximale de 24.000 dpi, qui est atteinte par l'interpolation de logiciel. On peut considérer cette valeur comme un gag publicitaire, car un gonflement artificielle de l'image à travers une interpolation du logiciel ne fait aucun sens et elle peut être effectuée avec chaque image dans un programme de traitement d'image. Si le scanner ne pouvait qu'atteindre approximativement, cette résolution nominale de 7200dpi, celle-ci sera une valeur sensationnellement élevée. Un scan avec 24.000 dpi produit d'ailleurs un fichier d'images d'environ 800 mégapixels; avec une grandeur de données d'environ 2,5 gigaoctets, on entendra gémir son ordinateur...
La résolution optique nominale correspond alors celle du Plustek OpticFilm 7300 et de l'OpticFilm 7200. Si la résolution effective s'approche de cette valeur extrêmement élevée, il en sera démontré dans le test de résolution.
Installation et mise en service du Plustek OpticFilm 7400
L'installation du scanner de film Plustek et par conséquent celle de l'OpticFilm 7400 se passe différemment que chez la plupart des appareils USB mais néanmoins très simple. Le fait exceptionnel qu'on branche ici le scanner à l'ordinateur avant d'installer le logiciel. Normalement, cela fonctionne à l'inverse. Alors: Brancher le scanner au courant et par USB à l'ordinateur, mettre en marche, suivre les instructions d'écran (choisir "l'installation de logiciel automatique") et le scanner est déjà opérationnel. Vous pourriez effectuer tout de suite le premier scan avec le programme "QuickScan" automatiquement installé.
Mais bien sûr, nous voulons utiliser SilverFast car ce logiciel de scan professionnel promet des résultats d'image bien meilleurs. Nous installons alors SilverFast après- cela fonctionne même sans problème. Après le déverouillage à travers la requête du numéro de série collé sur la housse de CD, nous pouvons démarrer.
Le premier scan était vite faite chez moi. Celui qui n'a jamais travaillé avec SilverFast, il aura besoin d'un certain temps jusqu'à ce qui'il se débrouille bien dans la multitude de boutons, des boutons de commande et des menus. SilverFast est un logiciel de scan professionnel avec des possibilités innombrables; mais un débutant peut obtenir de très bons résultats avec ce logiciel puissant car les fonctions fondamentales sont facilement et simplement disponibles.
Comme chez l'OpticFilm 7300 et l'OpticFilm 7200, j'ai aussi déjà reçu un message d'erreur lors de l'effectuation d'autres scans, que le scanner ne soit pas prêt. La solution pratique est très simple: Presser sur scanner plusieurs fois, après quelque fois cela fonctionne déjà. Je n'ai jamais découvert, d'où vient cette erreur. Ce problème surgit déjà depuis plusieurs générations des scanners OpticFilm. Espérons que Plustek ou LaserSoft Imaging le réglent un jour.
Numériser les diapos encadrées de 35mm
Dans le volume de la livraison du Plustek OpticFilm 7400, un support de diapo est contenu pour scanner les diapos de 35mm encadrées. Ce support de diapo se compose de 4 fentes, dans laquelles on peut mettre respectivement une diapo encadrée. Il y a de différents cadres de diapo, chacun a certains avantages et inconvénients, beaucoup se ressemblent beaucoup. Le support de diapo n'est pas différent de celui du prédécesseur.
L'insertion d'un diapo dans le support fonctionne tout simplement: On insére la diapo dans le côté gauche d'une fente et on presse le ressort. On peut maintenant appuyer la diapo vers le bas, de sorte qu'elle s'enclenche fermement. Toutefois, on doit faire attention, qu'on ne glisse pas en appuyant simultanément le ressort et lors du glissage de la diapo vers le bas; il peut arriver légèrement qu'on glisse, et qu'on saisit le film sur le film complètement. Pour une diapo précieuse, un tel glissage est une chose irritée. Pour prendre des précautions, qu'on ne détruit pas de diapo par erreur lors de son insertion et sa sortie, je recommande le port des gants de coton.
La construction de support de film avec des ressorts est réussie, spécialement la diapo est bien fixée sur les deux côtés par de petits crochets lors de l'état d'insertion. Qu'il s'agit des parties d'usure dans le cas des supports de film avec le ressort, est une chose très évidente. Celui qui doit scanner beaucoup de diapos de 35mm, il aura besoin tôt ou tard d'un nouveau support de film. Lors de l'achat d'appareil Plustek, il se recommande alors d'acheter un deuxième support de diapo. Chez les diapos vitrées, les fixations supplémentaires échouent mais le ressort se laisse presser si loin que les grosses diapos peuvent être mises dans le support de film. Il est clair que les ressorts ne prennent pas plaisir lors d'une telle sanction.
On intercale ensuite le support de film entre le scanner soit de gauche, soit de droite. Le scanner n'a pas un emménagement de support de film automatique, de sorte qu'on doit exactement positionner le support de film sans voir où se trouve exactement la position juste. Pour cela, on sera aidé par des rainures du support de diapo, qui s'enclencher légèrement. On réussit de cette façon à positionner correctement une image du support de diapo au-dessus du détecteur CCD. La protection du scanner contre la poussière est très bien résolue: Deux couvercles à gauche et à droite du scanner se renferment automatiquement, si aucun support de film n'est mis ou si le support de film émerge seulement sur un côté.
Dans le support de diapo, on peut mettre jusqu'à 4 diapos de 35mm et après le premier scan, on l'intercale manuellement entre une image. Cette procédure est d'envergure. Les scanners de film avec une poussée directe de diapo comme par exemple chez le modèle de concurrence Reflecta CrystalScan 7200 conviennent mieux pour scanner des diapos encadrées car on ne doit pas positionner la diapo dans un support de film mais on peut l'intercaler directement entre le scanner. La numérisation à partir d'un support de diapo est une procédure d'envergure chez avec les diapos de 35 mm, chez les bandes de film, la procédure a plutôt qulques avantages comme nous le verrons dans le chapitre suivant.
La numérisation se produit après un schéma éprouvé: Edifier la présentation, faire des réglages et effectuer le scan principal. Un cadre de diapo avec des tiroirs pour 4 diapos peut suggérer une entreprise de pile. Cela n'est cependant pas ainsi! On doit scanner chaque diapo séparément et donner séparément les noms de fichier respectifs. Dans ce domaine, il y a encore du potentiel d'amélioration.
Numériser les bandes de film de 35mm
Un support de bande de film est contenu dans l'étendue de série du scanner pour numériser les bandes de négatif ou les bandes de positif de 35mm, dans lesquelles on peut mettre une bande avec une longueur de plus de 6 images. Deux plus petites bandes ou 6 images détachées peuvent être aussi mises dans le support de film. Le support de bande de film n'est pas différent de celui du modèle précédent OpticFilm 7300.
Le support de film est pliant; on doit veiller à ce qu'on n'arrache pas le couvercle de fermeture lors de la première ouverture, car le support de film ne se laisse pas ouvrir complètement (180°) mais seulement à moitié environ (110°). Par conséquent, le couvercle de fermeture est toujours dans le chemin lors de la mise en place de la bande de film et on court le risque de l'appuyer trop loin de sorte que les charnières se rompent. Dommage que Plustek n'ait pas résolu ce manque, non plus chez la troisième génération d'appareils. Un élargissement du mécanisme relevable de 110° à 180° serait un grand changement de construction.
On met confortablement la bande de film sur le support, de sorte que six petites fixations seront disponibles respectivement sur la face supérieure et au dessous, afin de pouvoir positionner sûrement la bande de négatif. On déplace horizontalement la bande de film de sorte que les différentes images se trouvent exactement entre les passerelles. Celles-ci sont heureusement si étroites qu'on ne doit pas inévitablement couper des parties de l'image. Tandis qu'on peut réaliser prudemment la mise en place de la bande de film avec la main, on a besoin d'une pincette avec des pelles arrondies pour la sortie, sinon on touche légèrement le film et on laisse ses traces. La manière la plus sûre de digitaliser des bandes de film est le portage des gants de coton au moins pour une main. On peut alors toucher la bande de film sans mauvaise conscience et on ne laisse pas d'empreintes digitales sur le film.
La mise en place des bandes de film et des images simples fonctionne sans problème - l'insertion des bandes courbées ou ondulées devient difficile à impossible, car il n'y a pas de fixations dans lesquelles on peut fixer les bandes de film. Là, il y a de bien meilleurs supports de film. Ainsi, il ne rien d'autre possible pour la bande de négatif que de l'insérer dans le support et de la positionner correctement lors de l'usure du couvercle du support de film - une affaire ardue.
L'insertion du support de la bande de film dans le scanner fonctionne par analogie au support de cadre de diapo. On doit faire en sorte que l'image soit dans sa place juste dans le scanner; les rainures au dessous du support de la bande de film. Le support de la bande de film peut recevoir jusqu'à 6 positifs ou négatifs mais chaque image doit être scannée séparément. Il n'y a pas de mode de pile car le scanner ne possède pas de moteur de transport automatique pour le support. Les scanners de film qui disposent d'un transport de film automatique et qui par conséquent, peuvent scanner image pour l'image une bande de film entière sont dans une classe de prix toute différente, voir par exemple le Reflecta RPS7200 Professional.
Le progiciel du scanner Plustek OpticFilm 7400
Comme il est le cas chez le prédécesseur, Plustek livre l'OpticFilm 7400 avec un progiciel complet: A côté du simple logiciel de scan QuickScan, qui est approprié à numériser les diapos et négatifs sans une grande dépense mais avec des facilités de réglages, le programme de traitement d'image ImageFolio ainsi que le logiciel de gestion et de contemplation d'image ImageExplorer, on trouve le logiciel de scan professionnel SilverFast SE Plus contenu dans le paquet.
SilverFast SE Plus est différent du SE normal à travers la caractéristique de MultiExposure. Avec MultiExposure, l'image à scanner sera explorée multiplement (ici 2 fois) avec des expositions différentes. Il sera produit une image trop claire et une image trop sombre, qui seront automatiquement additionnées à image exposée correctement. On reçoit ainsi plus de dessin dans les lumières et dans les ombres: Les informations d'image du scan trop sombre seront utilisées pour les parties d'image claires, tandis que les informations du scan trop clair seront utilisées pour les parties cinémathèques sombres. La combinaison de ces deux images produit une image avec une étendue de contraste augmentée.
Une autre fonction de SilverFast SE Plus est le MultiSampling. Comme chez MultiExposure, l'original sera exploré à plusieurs reprises (jusqu'à 16 fois) mais sans expositions différentes. Cette fonction réduit le bruit d'image surtout dans les parties d'image sombres, de sorte qu'il numérise la présentation plusieurs fois pour calculer ainsi le bruit d'image apparu. Cela fonctionne aussi bien dans la pratique et peut améliorer les résultats des scans des images très sombres. Vous trouvez des informations détaillées sur Multi-Exposure und Multi-Sampling sur notre page FAQ de SilverFast.
Dans le paquet de logiciel, on trouve aussi Presto! ImageFolio, qui offre des fonctions de traitement d'image rudimentaires, qui dépassent à peine les fonctions du MS-Paint contenu dans Windows. En plus de cela, il y a encore Presto! ImageExplorer, avec lequel on peut regarder et trier ses photos. Avec Presto! PageManager également contenu dans le volumen de livraison, on peut gérer ses images et autres documents, comme par exemple les fichiers de texte ou PDFs, de les envoyer aux programmes appropriés ou d'édifier en contact avec Quickscan des PDFs ou des fichiers textes à partir de ses scans à l'aide de l'identification de texte OCR. Toutefois, on scannera rarement des documents de texte avec un scanner de film.
Qualité d'image de Plustek OpticFilm 7400
Après que le Plustek OpticFilm 7300 a fait une mauvaise figure au sujet de la qualité d'image, je suis maintenant curieux de savoir si le successeur OpticFilm 7400 s'est amélioré. Selon le fabricant, l'appareil a un DEL de conception nouvelle qui doit procurer des meilleures scans.
Nous regardons d'abord la résolution effective obtenable. Lors d'un scan d'un test graphique avec USAF -1951, les lignes horizontales et verticales de l'élément 6.2 se laissent distinguer justement. Les lignes de l'élément 6.3 ne se laissent plus différencier clairement. A partir de cela, il résulte une résolution efficace d'environ 3800 ppi. Ceux sont que 53% de la résolution nominale mais néanmoins une valeur étonnamment élevée pour un scanner de film de cette classe de prix et se situe à 550ppi au-dessus de la résolution du grand frère Plustek OpticFilm 7600i. Etonant est le fait que le plus petit Plustek surpasse le plus grand au sujet de la résolution. Car nous avons à peine pu croire ces faits, nous avons exécuté le test de résolution non seulement avec le Plustek OpticFilm 7400 mais aussi avec l'OpticFilm 7600i avec 3 appareils respectifs; le résultat s'est vérifié. Alors un grand à Plustek, 3800 dpi sont une valeur qui est seulement atteinte par les scanners Nikon, qui sont plus chers.
Et néanmoins, le bon résultat de résolution a une bémol: Pour exprimer 3800 dpi efficaces d'une diapo ou d'un négatif de 35mm, on doit scanner avec la résolution maximale de 7200 dpi. Un tel scan livre un fichier d'images avec plus de 70 millions de Pixels; un tel fichier d'images a une capacité de mémoire d'environ 210 mégaoctets. Il n'y a vraiment que 20 millions Pixels contenus dans le fichier d'images; 50 millions de pixels sont alors doubles. Comme il ne fait pas de sens de sauvegarder 70 millions Pixels par image, desquels 50 millions sont doubles, chaque image doit être calculée de nouveau après la numérisation dans le programme de traitement d'image. Ce processus est lent et exige des ordinateurs performants.
Est-ce que la résolution élevée du Plustek 7400 se manifeste aussi dans la pratique? Une comparaison d'un scan d'essai apporte cependant une résolution efficace qui ne détermine pas la netteté de l'image finale. Vous verrez à gauche dans l'exemple un fragment d'image d'une diapos de test. Cliquez sur le thumbnail pour recevoir une représentation dans la taille originale qui change toutes les 3 secondes entre le scan avec le Plustek OpticFilm 7400 et le scan avec le Nikon Super Coolscan 5000.
Le scan avec l'une et l'autre diapo avec le Nikon SuperCoolscan 5000 et avec le Plustek OpticFilm 7400 ( les deux avec SilverFast) rend clair, que le scanner Nikon produit des résultats qui sont bien plus tranchants malgré une résolution presque identique. Le scan de l'OptiFilm 7400 a l'air d'être délavé. Les optiques de haute qualité dont l'appareil Nikon dispose contrairement au scanner Plustek sont éventuellement responsablement de cela; nous ne pouvons pas expliquer correctement ces faits. La résolution effective élevée du Plustek OpticFilm 7400 ne se manifeste malheureusement pas dans la pratique avec la netteté de l'image résultante comme on le désirerait.
L'étendue de densité a clairement augmenté comparé à celle de l'OpticFilm 7300. Les scans montrent suffisamment du dessin non seulement dans les lumières, mais aussi dans les ombres. Dans cette discipline le scanner de film est similaire à son grand frère le OpticFilm 7600i.
Cela caractéristique MultiExposure en apporte une à dessin de profondeur défini à l'OpticFilm 7400 et chez son grand frère à des diapos maintenant ou une claire par-dessin des lumières avec les négatifs. C'est alors recommandable d'utiliser cette fonction. La fonction MultiSampling fait aussi ses services en réduisant visiblement le bruit d'image dans des parties d'image sombres. Malheureusement, MultiExposure et MultiSampling ne se laissent pas faire des déductions dans un scan.
La correction manquante de poussière et d'éraflure basée sur le matériel est malheureusement un grand manque au sujet de la qualité d'images. Peu importe à quel point on nettoie aussi bien les présentations avant de les digitaliser, il en reste toujours de la poussière qui en sera scannée. C'est pourquoi, une épuration manuelle coûteuse du scan est nécessaire dans un programme de traitement d'image. Celui qui peut comparer sur notre page des procédés de correction d'images avec/sans élimination automatique de poussière, peut évaluer lui-même, quelles pertes de qualité d'image on obtient à travers la correction manquante de poussière et d'éraflure basée sur le matériel.
Vitesse de scan lors de la numérisation des diapos et des négatifs
Pour déterminer les temps de scan évoqués dans le tableau suivant, le scanner a été branché par USB 2.0 à un ordinateur avec un processeur Intel Quad-Core 2.4 GHz et avec une mémoire vive de 4 GB. Comme les temps de scan des diapos et des négatifs ne sont pratiquement pas différents, nous avons renoncé à une subdivision. Le fait que les temps de scan soient les mêmes pour les positifs et les négatifs est étonnant. Finalement, il a fallu plus longtemps aux plus vieilles générations de scanners de film pour la numérisation des négatifs vis-à-vis de la numérisation des positifs. Les ordinateurs ou les processeurs rapides d'aujourd'hui en jouent peut être un rôle.
Processus |
Durée sans MultiExposure |
Durée avec MultiExposure |
Aperçu |
0:15 min |
0:15 min |
Scan avec une résolution de 2400 ppi |
0:39 min |
2:16 min |
Scan avec une résolution de 3600 ppi |
0:53 min |
3:01 min |
Scan avec une résolution de 7200 ppi |
2:54 min |
6:59 min |
Tandis que les scans sans MultiExposure se déroulent relativement vites, un scan avec une fonction MultiExposure activée peut durer assez longtemps selon la résolution: Un scan avec 7200 ppi dure environ 7 minutes.
Pour recevoir la résolution effective la plus élevée, on scanne en général avec la résolution optique la plus haute, on doit alors calculer des temps de scan de 3 minutes (sans MultiExposure) ou 7 minutes (avec MultiExposure) par image. Cela peut surtout devenir très lent avec des archives considérables parce qu'on doit être assis tout le temps devant le scanner à défaut d'entreprise de pile. En plus, il s'ajout la retouche de poussière manuelle dans le programme de traitement d'image.
Résumé, bilan
Le nouveau Plustek OpticFilm 7400 a enfin éliminé les faiblesses de son prédécesseur. L'étendue de contraste s'est sensiblement accrue et le résultat d'image est satisfaisant. L'appareil livre de bons scans qui ont l'air d'être légèrement délavés malgré la résolution effective très haute de 3800 ppi.
Si l'appareil disposait d'une correction de poussière et d'éraflure basée sur le matériel, Plustek aurait atterri un tube. Son abscence est le grand manque de cet appareil. Mais il doit se distinguer d'une manière ou d'une autre de son grand frère, l'OpticFilm 7600i et s'établir dans la hiérarchie des modèles. Que la résolution effective est élevée que celle de l'OpticFilm 7600i, ceci ne confirme pas ce schéma.
Malgré de bons résultats, on ne donne aucune recommandation pour cet appareil car la ligue des scanners de film avec une fonction de poussière et d'éraflure basée sur le matériel commence déjà avec peu d'euros au-dessus de Plustek OpticFilm 7400, voir p.ex.Reflecta CrystalScan 7200. La correction de poussière et d'éraflure automatique basée sur le matériel augmente tout simplement la qualité d'images pour en pouvoir renoncer.
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